☄️ Le Vent A Fait Le Tour Du Monde

Votrebagage a été perdu lors de vos vacances et a fait le tour du monde ? Racontez-nous votre mésaventure . 19h05. Football. VIDEO. Euro féminin 2022 : la France s'incline 2-1 face à l

Ce jeudi 18 août, un terrible orage a traversé la Corse faisant plusieurs victimes. Parmi elles, une kayakiste de 63 ans a perdu la vie au cours de sa sortie en mer. Son mari raconte. C'est la fin d'un tour de Corse en kayak qui a viré au drame. Après trois semaines de navigation, Thierry Puyfoulhoux, 60 ans, et son épouse, Odile, 63 ans, avaient prévu une dernière journée en mer ce jeudi 18 août. Mais les terribles intempéries qui ont frappé l'Île de Beauté dans la matinée ont transformé la balade en cauchemar. "On était parti de Furiani à 8 heures en kayak, nous avons passé Bastia et puis vers 9 h 30 nous nous sommes retournés et il faisait nuit derrière nous, c'était effrayant", a raconté Thierry Puyfoulhoux dans une interview accordée France Bleu et reprise par Corse Matin. "Les yeux étaient ouverts mais elle ne regardait rien" "Le vent s'est levé d'un coup, poursuit-il. On a tenu tant qu'on a pu et on a fini par dessaler. Ma femme a bu la tasse en dessalant. On s'est accroché au bateau, et puis on est resté deux heures dans l'eau. On n'avait pas froid, l'eau était chaude mais ma femme toussait." Pour France 2, Thierry Puyfoulhoux explique avoir repéré un Zodiac qui dérivait sans passager. Il décide alors de ramer en sa direction tandis que sa femme, incapable de remonter à bord, s'accroche au kayak. Mais alors que le couple se rapproche de l'embarcation, Odile ne répond plus. "J'ai sauté à l'eau, je suis allé la voir. Les yeux étaient ouverts, mais elle ne regardait plus rien, et puis il y avait de l'écume qui sortait de la bouche", détaille-t-il les larmes aux yeux. Sain et sauf mais rongé par le chagrin et la culpabilité, Thierry Puyfoulhoux a été pris en charge par l'hôpital de Bastia.

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J’ai bien envie de dire Ouiiiii !!!!» Mais je me connais. Est-ce que ce n’est pas encore une lubie qui me prend comme une envie de piss.. comme ça peut m’arriver ? Là j’ai envie d’y croire plus que d’habitude. D’abord parce que j’ai toujours voulu le faire, ensuite parce que Philippe mon chéri depuis 7 ans en a aussi envie. Alors quand on est 2 ça marche déjà beaucoup mieux. Pourquoi maintenant ? Nous sommes 2 quarantenaires, bien installés, pas d’enfant, le travail qui ronronne… un peu trop… On a pas assez de jours pour partir en vacances, on adore les voyages et on adore prendre notre temps . Qu’est ce qui nous retient ? Pour faire en sorte que cela ne reste pas une passade, Philippe m’a proposé de tenir ce blog. Très bon moyen pour que je m’implique aussi…. il est malin 😉 La situation, nos premières réflexions Pas de budget, ou vraiment peu Envie de partir en Van pour prendre le temps… ou pour le confort, en fourgon ou pick-up aménagé ou camping car Donc on se limite à l’Eurasie sauf si on achète/loue un véhicule une fois en Amérique On envisage un trip jusqu’en Asie Étonnement, on n’a pas de destination de prédilection, sauf l’Europe du nord, et la Mongolie. On en profiterai bien pour faire la vieille Europe On utilise l’application à pour programmer un premier circuit, avoir une idée. Itinéraire 0 Et là on s’aperçoit qu’il ne faut pas cumuler trop de km/jours, ni cumuler trop de pays…. la Chine décourage avec les taxes pour entrer un véhicule, et l’obligation d’utiliser les services d’un guide, même en mode groupé. la Mongolie est difficile à traverser en camping car, il faut un 4*4 ça reste faisable la Russie délivre des visas d’un mois MAX. le site dit que les pays de notre premier itinéraire ne sont pas les pays les plus safes à parcourir… Les moyens On demande une année sabbatique chacun dans notre entreprise On met l’appart en location meublée pour une durée d’un an On stoppe temporairement les remboursements de prêt -> Ça ne suffit pas pour financer le voyage, continuer de payer les impôts, il faut continuer de réfléchir au financement Conclusions Si on fait un road-trip en Eurasie, on ira certainement pas plus loin que Samarcande en Ouzbékistan. Et c’est déjà pas mal. Le circuit est encore à améliorer… On a peut être déconné avec l’Italie itinéraire 1 Si on part sur ce type de circuit c’est quand même frustrant de prendre un an pour faire » Le Tour Du Moooonde », et réaliser qu’on ne pourra pas faire tout …… Mongolie, muraille de Chine, Chili, Nouvelle Zélande, Japon, et j’en passe…. Est ce qu’on est sur qu’on le fait en camping car? Actions en cours Analyse de la meilleure solution véhicule Démarrer le comparatif Avion ou camping car pour que ce soit sans regret Tableau de financement A Suivre…

Nousnous penchons ici sur son avenir. Avec une victoire d’étape, un top 5 et un top 10 au classement général, cette 109e Grande Boucle n’a

Publié le 21/08/2022 à 1652, Mis à jour le 22/08/2022 à 1149 Du Rhône-Alpes au Grand-Est, la journée est estivale. alinamd / Ce lundi 22 août, la France se situe entre une perturbation atlantique et un anticyclone sur l'Europe centrale, avec un temps contrasté entre le nord et le sud du pays. Le temps assez ensoleillé se poursuit dans le sud et l'est de la France ce lundi 22 août, dans une ambiance chaude l'après-midi. Sur les régions de l'Ouest, une nouvelle perturbation océanique apporte un ciel couvert, quelques pluies et un vent soutenu sur les régions voisines de la Manche. Sur les régions centrales, on retrouve un traditionnel dégradé nuageux, annonce La chaîne météo*.La météo dans votre régionDe la Bretagne à la Normandie, la journée se déroule sous un ciel majoritairement couvert avec quelques pluies éparses ou ondées. Le vent de Sud-Ouest souffle à 60 km/h près du littoral. Il fait 15 à 17°C le matin, puis relativement frais avec 18 à 22°C l'après-midi du bord de mer à l'intérieur des Ardennes au Centre en passant par le bassin parisien, les nuages sont majoritaires, mais ils ne donnent pas de pluie. De 13 à 18°C le matin, et jusqu'à 23 à 25°C l' lire aussiFace aux vagues de chaleur, les orages sont-ils inéluctables ?En Nouvelle-Aquitaine jusqu'aux Pyrénées, le ciel est gris le matin avec un peu de pluie, avant une amélioration l'après-midi. De 15 à 18°C le matin, il fait 25 à 28°C de moyenne l' Rhône-Alpes au Grand-Est, la journée est estivale malgré un voile nuageux assez épais. De 11 à 15°C le matin, il fait 26 à 29°C l'après-midi, un niveau de les régions méditerranéennes, la journée est ensoleillée avec 30 à 35°C l'après-midi. Mais Mistral et Tramontane restent d'actualité et soufflent jusqu'à 70 km/h en rafales. Ils renforcent les risques de départs de feux.*La Chaîne Météo appartient au groupe Figaro.

Lemarché de plein vent du samedi à L’Isle-Jourdain est un lieu phare de la ville toute l’année mais peut-être davantage l’été où les touristes se

19 mars 2022, San Remo, Italie. La cité balnéaire de San Remo, tout près de Nice, est baignée de soleil. Pas un nuage à l’horizon. Sur la corniche du Poggio - le sommet » en italien - des centaines de spectateurs se sont massées dans l’attente du spectacle imminent. En bas, au niveau du port, la Méditerranée s’étire en bâillant. La descente du Poggio, un impressionnant zigzag jusqu’au bord de mer. La tête baissée, les mains cramponnées au bas du guidon et la bouche grande ouverte, Matej Mohorič, maillot de champion de Slovénie sur les épaules, n'est pas venu pour admirer la beauté du paysage. Le voilà lancé dans la dernière descente de Milan-San Remo. Une course de 293 kilomètres entre la capitale lombarde et le littoral, à un jet de pierre de la frontière monégasque. C’est la plus longue épreuve de la saison, une classique mythique qui fait rêver. Et le Slovène compte bien saisir sa chance de la dans la descente du Poggio, à moins de cinq kilomètres de l’arrivée qu’il fait basculer la course à son avantage. Réputé comme le meilleur descendeur du monde à l’heure actuelle, Matej Mohorič fait honneur à son titre, et en une épingle, il met tous ses concurrents dans le vent. Le double vainqueur du Tour de France Tadej Pogačar, le gagnant de Milan-San Remo 2020 Wout van Aert et le lauréat du Tour des Flandres la même année Mathieu van der Poel... Personne ne parvient à le les routes menant au cœur historique de San Remo, le double vainqueur d’étape sur le Tour de France 2021 finit ses virages à un souffle des contreforts. Par deux fois, il manque de s’y pulvériser. À chaque sortie de courbe, le motard de télévision peut sentir son souffle dans sa nuque. Grâce à ses qualités de descendeur. Grâce aussi à sa tige de selle télescopique, qu'un bouton sur le guidon permet de régler tout en roulant et qui lui permet de prendre les meilleures crée la surprise et signe un exploit majuscule. La plus belle victoire de sa carrière, qui reflète surtout à la perfection son tempérament, comme il le confie aujourd'hui Je suis quelqu’un d’irresponsable par nature. Ce moment où je prends un virage à haute vitesse, je ressens beaucoup d’adrénaline, c’est une sensation très agréable. C’est un peu comme conduire une voiture de course, c’est presque addictif » Matej Mohorič décrit une passion déraisonnée mais irrépressible celle de la vitesse. Les poils qui se hérissent dans les tournants, les vibrations de l’asphalte, la liberté. Sur l’autre flanc de la montagne, les efforts de l’ascension laissent place au sentiment de plaisir que Romain Bardet partage. Le coureur français découvre les sensations de la vitesse enfant, sur les tortueuses routes de Haute-Loire, dans les environs de Brioude. Des instants où l’instinct refait surface, où les frissons sont décuplés. Pour ce descendeur aguerri, dévaler, c’est toucher au spectaculaire La descente, c’est un des seuls moments où on est l’engin à deux roues le plus rapide. Et tout ça sur des pneus de 23-25 millimètres » Romain Bardet À haute vitesse, les roues semblent presque voler. Une sensation de glisse qu’Anton Palzer compare au ski Tu oublies tout ce qui se passe autour et tu te concentres sur l’instant présent ici et maintenant. » Le Bavarois sait de quoi il parle en 2018, il a remporté le globe de cristal de la Coupe du monde de ski-alpinisme. C’est l’année dernière seulement, à 28 ans, que sa carrière de cycliste professionnel a débuté, dans l’équipe se prend désormais à rêver d’un destin à la Primoz Roglič, ex-sauteur à ski et vainqueur des trois dernières éditions du Tour d’Espagne. Et comme le Slovène, Palzer est habitué aux sensations fortes Sur certaines courses en haute altitude, j’ai déjà dévalé des pentes en pleine nuit à plus de 140 km/h. À vélo, je n’irai jamais aussi vite » Sur le bitume ou la neige, la descente procure des émotions similaires. Médaillé d’or aux Jeux olympiques d’hiver de Turin en 2006, le descendeur Antoine Dénériaz y aime la vitesse, les sauts, les grandes courbes ». Cyril Lemoine, cycliste de l’équipe B&B Hôtels-KTM, voit l’exercice comme une danse ». vidéo Vélo vs. Ski l'interview vitesse avec Cyril Lemoine et Antoine Dénériaz ⸱ durée 5 minutes ⸱ regarder Au club de Chambéry Cyclisme Formation CCF aussi, le monde de la glisse n’est jamais très loin de celui du vélo. Loïc Varnet, directeur de la pépinière de talents de l’équipe française AG2R-Citroën, le voit comme un atout Une grande partie de nos coureurs est originaire de la région et a grandi sur les skis. Ils n’ont pas peur de la vitesse et ont déjà exploré la notion de trajectoire. Il est plus facile de faire le transfert sur le vélo. » Loïc Varnet à gauche célèbre le titre de champion de France Espoirs de Valentin Retailleau le 30 juillet 2021 à Lorrez-le-Bocage-Préaux Seine-et-Marne. Loïc Varnet perfectionne la technique des jeunes qu'il couve mais leur apprend aussi à repousser leurs limites, à ne plus percevoir le danger de la même manière C’est le mental qui les met sur les freins, or tant qu’on est sur les freins, on ne peut pas explorer la complexité de l’aspect technique. Il faut d’abord prendre confiance et accepter le risque. Avoir confiance en soi voilà l’arme principale du bon descendeur » Une méthode qui fait recette. Romain Bardet en est l’exemple saillant. Il a fait ses classes au CCF entre 2010 et 2012 avant d’entamer sa carrière professionnelle chez AG2R-Citroën ex-AG2R La Mondiale, où il est devenu l’un des meilleurs descendeurs de sa génération. Un modèle en Savoie pour d’autres coureurs de la formation, comme Aurélien Paret-Peintre, 26 ans. vidéo Dans la descente du col du Chat avec Aurélien Paret-PeintreAG2R Citroën Team ⸱ durée 2 minutes ⸱ regarder Pour forger des descendeurs hors pair, l'un des exercices favoris de Loïc Varnet consiste à demander à ses jeunes de dévaler un col en utilisant leurs freins le moins possible. L’occasion d’un lâcher prise pour mieux s’habituer au défi, l’Italien de l’équipe TotalEnergies Niccolo Bonifazio se l’est aussi lancé, mais cette fois en à la vitesse par son oncle, ancien pilote de moto, le Piémontais n’a presque aucune limite en descente, et encore moins lorsqu’il roule sur ses terres. En 2019, trois ans avant le triomphe de Matej Mohorič, c’est dans les virages de Milan-San Remo qu’il frôle toutes les lignes le buste collé au cadre dans l'avant-dernière descente, celle de la Cipressa, personne ne peut le suivre. Pas même les motos ouvreuses qui s’écartent sur son passage. Sur les routes qui plongent vers la côte, il ne freinera que trois fois. Une détermination toujours présente au moment d’évoquer cet épisode Dans ma tête c'était soit ça passe, soit je finis à l'hôpital » À l’arrivée, une vingtaine de kilomètres plus loin, l’Italien termine à une insignifiante 131ème place. Peu importe pour ce sprinteur à moustache J’aime la vitesse, c’est dans mon ADN. Descendre à fond, c’est vraiment une émotion. » La roue d'anecdotes des descendeurs C’est la recherche de cette exaltation qui fait toute l’âme des descentes. C’est elle qui permet de réaliser l’impossible, comme le coureur français Lucien Aimar il y a plus d’un demi-siècle, le 13 juillet 1967. Sans casque et sur des routes d’un autre âge, il est le personnage principal d’une des légendes les plus fascinantes du Tour de France. L’histoire se déroule sur le Mont Ventoux. Un morceau de lune tombé du ciel. Un géant au crâne dégarni qui se serait endormi au milieu d’un champ de lavande. Désert de pierres blanches, rien n’y pousse. Seule aspérité dans ce paysage uniforme, une fine bande de bitume qui serpente jusqu’au sommet. Dressé sur ses pédales, le vainqueur de l’édition 1966 de la Grande Boucle, casquette jaune et bleue, voit enfin le sommet. La fin d'un calvaire. Pour cause de crevaison, l’écart s’est déjà creusé avec ses concurrents il pointe à deux minutes de la tête de course. Dossard 1 de vainqueur de l’édition précédente sur le dos, Lucien Aimar mène son groupe à l’assaut de l’impressionnant Mont Ventoux. L’arrivée à Carpentras Vaucluse est à 30 kilomètres à peine plus de temps à perdre. Le risque n’effraie pas le Varois ; il l'attire. De son propre aveu, la vitesse crée une distance avec le monde extérieur, l’installe dans une bulle. Une sensation qu’il cette descente, la morsure du vent remplace les brûlures du soleil. Sur ces longs segments rectilignes qui semblent avoir été tracés pour la vitesse, il fuse et comble son retard sur la tête de course. C’est ici qu’il aurait été flashé à 140 km/h. J’avais l’impression de voler », se rappelle-t-il depuis sa maison de Hyères, 55 ans plus tard. Je n’avais pas de compteur mais je l’ai su grâce aux motos suiveuses. L'une d’elles roulait à 120km/h et je l’ai doublée ! » Lucien Aimar vidéo Lucien Aimar le roi de la descente ⸱ durée 2 minutes ⸱ regarder Il aurait pourtant suffi d’un rien. Un instant d’égarement, un spectateur distrait ou une flaque d’huile sur le bitume pour que la descente de Lucien Aimar vire du rêve au têtes brûlées savent aussi se raisonner. Sur le Tour de l’Avenir 1964, dans la descente du col de l’Iseran Alpes, Aimar a ressenti une émotion qui lui est peu familière la peur. Lancé à toute allure, il détourne le regard de la route. Un simple coup d'œil. Vif. Par-dessus l’épaule, pour constater l’écart qui le sépare de ses concurrents. L’information prise, il se retourne mais frôle le précipice. Sa roue n’est plus qu’à vingt petits centimètres du vide. En quelques dixièmes de secondes, sa trajectoire a dévié. Depuis, il ne s’est plus jamais retourné en descente. À 80 ans, il n’a toujours pas oublié la leçon qu'il a apprise ce jour-là On ne peut jamais se relâcher dans une descente. »

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