Ensus de la rémunération (salaire de base et bonus) garantie en net, l’employeur a mis en place les avantages ou mesures d’accompagnement liées à l’expatriation suivantes : Prise en compte du différentiel du coût de la vie entre Paris et Singapore. Frais de scolarité des deux enfants à hauteur de 10 000€ par an.
En amont de la présentation du Budget 2020 fin septembre 2019, le ministère des finances a transmis vendredi ses prévisions macroéconomiques au Haut Conseil des finances surprise, la croissance économique prévue pour 2020 est légèrement revue à la baisse, avec une hausse limitée à 1,3 % contre 1,4 % attendu et une inflation de 1,2 %. Le gouvernement anticipe ainsi le ralentissement de l’économie mondiale et européenne, accentuée par des tensions commerciales notamment entre la Chine et les de sortie de la crise des gilets jaunes »Cette prévision pour 2020 complique un peu plus l’équation budgétaire du gouvernement, qui doit d’une part financer l’ensemble des mesures de pouvoir d’achat annoncées 17 milliards d’euros, au total, selon Matignon, NDLR pour répondre aux revendications des gilets jaunes » et d’autre part essayer de trouver des économies pour les jaunes, le point sur les mesures annoncées par Emmanuel MacronUne partie des mesures sera financée par le déficit public. Il baissera mais moins que prévu, en passant de 3,1 % du PIB en 2019 à 2,2 % en 2020, et respectant ainsi à nouveau le critère européen des 3 % du PIB annuel. La transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi CICE en baisse de charges explique pour une bonne part ce contrôle du dette en berneLe gouvernement s’est fixé l’objectif d’un déficit limité à 2 %, mais ses recettes ont baissé avec la baisse de l’impôt sur le revenu de 5 milliards d’euros annoncée par Emmanuel Macron à la suite du mouvement des gilets jaunes » et la réindexation d’une partie des pensions de retraites sur l’inflation pour un coût de 1,5 milliard d’euros.Faut-il desserrer la contrainte budgétaire en Europe ?Faute d’avoir pu trouver suffisamment d’économies malgré la suppression de niches fiscales en faveur des entreprises, le décalage de la baisse de l’impôt sur les sociétés, ou le rabot sur certaines prestations sociales comme les APL, la dépense publique, l’une des plus élevée de l’Union européenne, va continuer à croître en 2020, passant de 53,8 % en 2019 à 53,4 % en gouvernement espère toujours une baisse de 3 points sur l’ensemble du quinquennat. La baisse des taux d’intérêt devrait permettre d’économiser 5 milliards d’euros sur les charges de la dette. Mais pour combien de temps encore ces taux resteront bas ?
Dansle cas où, à la suite de la réunion des parts ou actions entre les mains d'une seule personne, la société est dissoute, soit à la demande de celle-ci, soit à la demande d'un tiers intéressé (cf. I-A-2) l'acte de dissolution ou la décision judiciaire de dissolution est enregistré dans les conditions de droit commun.
C'est l'un des territoires où la grogne des Gilets jaunes a été la plus intense l'hiver dernier et perdure encore cet automne. En visite à La Réunion, Emmanuel Macron a ainsi été confronté à la mobilisation contre la vie chère » que le président n'a, pour l'instant, pas apaisée avec les mesures annoncées. Car sur l'île, où le revenu médian est inférieur de 30 % à celui de la métropole, les produits alimentaires, les vêtements ou encore les communications coûtent plus cher malgré ces salaires moins fait de l'insularité, du manque d'industrie et de la grande distance avec l'Hexagone, les importations pèsent lourd dans la balance commerciale. Les coûts de transports aériens et maritimes sont tels que la plupart des produits, hors les rares fabriqués sur place, sont inévitablement vendus plus cher qu'à Orléans ou Toulouse. Selon une étude comparative de l'Insee datant de 2016 - la plus récente -, le coût global de la vie est de 7,1 % plus élevé qu'en écart pour les produits alimentairesPour obtenir ce chiffre, l'institut de statistiques a calculé l'écart entre ce que coûte un panier métropolitain » c'est-à-dire avec des biens ou services que l'on consomme régulièrement dans l'Hexagone si on l'achète à La Réunion, et ce que coûte un panier réunionnais » avec les habitudes de consommations des locaux si on l'achetait à Marseille ou Strasbourg. Les résultats sont sans appel Se nourrir, se soigner et communiquer coûte plus cher qu'en métropole ».L'écart le plus flagrant concerne des produits alimentaires 28 % de plus à La Réunion qu'en métropole, suivi des boissons alcoolisées et tabac + 26,4 % puis des communications - coût des connexions Internet ou forfaits de téléphone - + 16,7 % ou les frais de santé + 12,8 %. À noter que les écarts sont plus importants entre La Réunion et la province de l'Hexagone qu'entre La Réunion et la capitale, où le coût de la vie est aussi plus cher qu'en ne compare toutefois pas deux paniers identiques mais, en somme, le panier préféré du Réunionnais s'il déménageait à Paris, et inversement. Dans la réalité, celui qui arrive dans un sens ou dans l'autre aurait tendance à s'adapter à ce qu'il trouve sur place. À titre d'exemple, s'il n'avait pas l'habitude d'acheter du poisson à Paris, il pourrait y prendre goût à La Réunion, où cela coûte moins cher. Même chose pour le fruit de la passion ou la mangue, plus accessible que peut l'être une fraise en offre locale moins largeMalgré cela, la plupart des produits alimentaires restent plus onéreux sur l'île que dans l'Hexagone. Et certains n'existent d'ailleurs même pas en version locale, à l'image de la plupart des yaourts, des pâtes à tartiner ou des produits d'entretien. Ainsi, si l'eau locale est moins chère que l'Evian ou la Volvic, il y a bien moins de choix pour le liquide vaisselle, le dentifrice, les couches ou les gâteaux et sucreries de marques 2017, des députés de la France insoumise s'étaient d'ailleurs attachés à le prouver en comparant leurs tickets de caisse après avoir acheté les mêmes produits dans deux magasins de la même enseigne, l'un en France métropolitaine et l'autre à La Réunion. Ces derniers avaient relevé une différence de 40 % du prix. Cette semaine, notre propre observation semble confirmer la tendance les biscottes Heudebert classiques sont vendues à 6,63 euros le kilo dans un Leclerc de La Réunion quand elles coûtent 3,46 euros le kilo dans un Leclerc de Paris; les Chips Lay's à l'ancienne sont à 11,38 euros le kilo à La Réunion et 6,87 euros le kilo en France; le Kiri est vendu à 12,78 euros le kilo à La Réunion contre 10,50 euros en France, etc. À noter que le prix du riz, base de l'alimentation de l'île, est lui réglementé afin que l'écart ne soit pas aussi important que pour d'autres transports et les loyers plus abordablesSelon l'Insee, l'habillement et les chaussures sont également 2,5 % plus cher, tout comme les meubles et l'électroménager. En revanche, la tendance s'inverse pour les Transports, avec un écart de 4,4 % en faveur des Réunionnais. Il faut par exemple compter 1 euro pour un ticket de bus à Saint-Denis de la Réunion 1,30 euro en l'achetant auprès du chauffeur contre 1,90 euro à Paris. Le carnet de 10 tickets coûte 7,60 euros à Saint-Denis et 14,90 à Paris. Pour autant, selon le guide de voyage Petit futé, le réseau réunionnais est exemplaire ».Par ailleurs, comme dans les autres territoires outre-mer, les hydrocarbures font l'objet d'une taxation réduite revenant aux collectivités locales. Les prix à la pompe sont donc sources de tensions, comme en métropole, mais sont en moyenne 10 % moins cher, selon l'Insee. Toutefois, acheter un véhicule neuf à La Réunion coûte 24 % plus cher et les pièces détachées sont plus onéreuses, notamment les plus rares, précise l'institut de si l'on se concentre sur le poste de dépenses logement, eau et énergie », l'Insee observe un écart de 4,3 % en faveur de La Réunion. À l'achat, le prix au m² est en moyenne de 2000 euros à La Réunion et de 2500 euros en métropole. Cette comparaison est toutefois à relativiser en raison de l'absence de grandes agglomérations sur l'île - environ 150 000 habitants pour le chef-lieu Saint-Denis - lorsque, en métropole, ce sont dans les grosses villes que le marché immobilier est le plus tendu.
Réunion Société Vie chère à La Réunion : quels écarts de prix avec la métropole ? LINFO.RE – créé le 11.02.2019 à 19h21 – mis à jour le 11.02.2019 à 20h06 - Lucie Touzé
Économie Transports Les travaux de ce projet très contesté, au coût estimé à 2 milliards d’euros, devraient reprendre à la mi-septembre. Après deux jours et dix-neuf heures de négociations, un accord a été trouvé, vendredi 31 juillet en soirée, entre le conseil régional de La Réunion et le groupement d’entrepreneurs pour terminer la nouvelle route du littoral NRL. Cet axe de deux fois trois voies reliant Saint-Denis à La Possession, sur une partie en viaduc à 20 m au-dessus de la mer, est décrié par les écologistes en raison de ses conséquences sur l’environnement et de son coût croissant de plus de 2 milliards d’euros lié aux difficultés à mener à bien le chantier. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Le chantier de la route du littoral de La Réunion vire au cauchemar Selon le président de la collectivité, Didier Robert divers droite, les travaux pour construire la route digue de 2,7 km, située sur le côté ouest de l’ouvrage, redémarreront le 15 septembre. Ce chantier était à l’arrêt depuis plusieurs semaines. En colère, les responsables des petites sociétés de transport de matériaux ont, la semaine du 20 juillet, bloqué l’hôtel de la région pour protester contre cette situation menaçant leur activité. Un problème d’approvisionnement En août 2019, le groupement Vinci-Bouygues et leurs filiales locales SBTPC et GTOI avaient fait savoir à la région qu’ils ne continueraient pas le chantier de cette digue en raison des surcoûts provoqués par les problèmes d’approvisionnement en roches. Le marché avait été signé fin 2014 pour un montant de 298 millions d’euros. L’exécution des travaux était prévue début 2019. En octobre, la collectivité a décidé de rompre ce marché en activant la résilience pour faute. Le groupement considérait de son côté que les torts étaient partagés et n’entraîneraient pas le paiement de lourdes indemnités. L’édification de la digue nécessite plus de 7 millions de tonnes de remblais et d’enrochement Pour construire cette route, la région comme les entrepreneurs avaient misé sur l’ouverture d’une carrière de roches massives à Saint-Leu, situé sur la côte ouest. Mais le tribunal administratif a suspendu, en avril 2019, l’ouverture de celle de Bois-Blanc en visant, notamment, la révision du schéma départemental des carrières et en soulignant l’absence d’une réelle réflexion sur les moyens d’approvisionnement ». La société réunionnaise pour l’étude et la protection de l’environnement Srepen et la commune de Saint-Leu dénonçaient des nuisances et des atteintes graves à l’environnement. Dans un second avis rendu le 22 juillet, l’Autorité environnementale AE a enfoncé le clou en indiquant qu’il subsiste, toutefois, une ambiguïté sur l’origine des matériaux nécessaires à la construction de la NRL à laquelle contribue l’absence d’actualisation de l’étude d’impact de la NRL, pourtant déjà recommandée par l’AE ». L’édification de la digue nécessite plus de 7 millions de tonnes de remblais et d’enrochement. Le problème vient de l’approvisionnement en roches massives, celles qui pèsent plus d’une tonne et qui donnent sa stabilité à l’ouvrage et dont les besoins sont estimés à 3 millions de tonnes. Selon la région, il existe de la ressource locale » avec les blocs rocheux sortis des champs. Une solution évidemment plus coûteuse. Pour Vinci-Bouygues, une autre option consisterait à importer des roches, notamment du Moyen-Orient. Chantage » et pression » Selon le vice-président de la collectivité, Dominique Fournel, le groupement de maître d’œuvre réclamerait entre 150 et 300 millions d’euros supplémentaires à cause des surcoûts liés à l’approvisionnement en matériaux, mais aussi des retards sur d’autres parties du chantier et des pertes financières. Si la région acceptait ces nouveaux tarifs en l’état, cela signifierait clairement une sortie du cadre du code des marchés publics et aboutirait à un doublement du marché initialement signé », a-t-il fait savoir dans un communiqué. Les détails de l’accord obtenu vendredi seront dévoilés la semaine du 3 août Didier Robert a, lui, dénoncé le blocage de l’hôtel de région en parlant de chantage », de pression » et d’ instrumentalisation » des transporteurs par le groupement. Le président du conseil régional avait proposé un avenant avec une augmentation de 45 millions du marché permettant de retrouver la notion de juste prix » et un avenant conforme aux règles juridiques. Les détails de l’accord obtenu vendredi seront dévoilés la semaine du 3 août. L’Etat, par la voix de la préfecture de l’île, se réjouit que cet accord contribue à la relance de l’activité économique … par la mobilisation de plusieurs entreprises et de nombreux travailleurs ». Questionné mardi 28 juillet sur ce chantier par le député Jean-Hugues Ratenon La France insoumise en commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, avait déclaré Je crois qu’il n’y a rien de plus stupide que les routes qui ne mènent nulle part. … Après tout, si le plan de relance nous permet d’achever une route aussi importante pour le développement de La Réunion que la route du littoral, je pense que nous aurons fait œuvre utile. » Lire aussi Article réservé à nos abonnés Plan de relance cent milliards et un probable revirement fiscal Lancé en 2014, le chantier, qui est réalisé à 80 % selon la région, aurait dû être livré en 2020. Selon M. Fournel, la route n’entrera pas en service, en raison des retards, au moins avant la fin 2024 ». La collectivité a acté l’idée d’ouvrir d’ici à la fin 2021 la première tranche de la route, soit 8 km comprenant le viaduc entre Saint-Denis et La Grande Chaloupe. La région a décidé de construire un raccordement avec la route existante en attendant la construction de la partie digue. Un appel d’offres est lancé pour cette déviation qui n’était donc pas prévue initialement. Le marché est fixé à 12 millions d’euros. Les Réunionnais ne comprendraient pas que 8 km de route soient terminés et pas mis en service », explique le vice-président. La NRL doit permettre aux Réunionnais de passer moins de temps dans les embouteillages et de fermer l’actuelle route qui longe la falaise. Un axe vital pour l’économie de l’île avec, en moyenne, plus de 66 000 véhicules par jour. Mais, depuis sa mise en service en 1976, 22 automobilistes ont été tués par des éboulements. Jérôme TalpinSaint-Denis La Réunion, correspondance Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. 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LaCôte d’Ivoire ambitionne de lever 4.425 milliards de francs CFA (7,65 milliards de dollars) au cours d’une réunion avec les partenaires donateurs, qui aura lieu ce mois-ci, pour aider à
Vous souhaitez passer une semaine à l'île Maurice mais vous vous demandez combien coûte ce voyage de rêve. Nous vous avons estimé le prix moyen d’une semaine à l’île Maurice à 1700 €. Ce budget correspond à un séjour que vous auriez organisé vous-même. Si vous préférez passer par une agence de voyages, rendez-vous sur notre page voyage organisé. Nous avons inclus la location d'une voiture de taille moyenne pour une semaine, indispensable pour visiter les plus belles plages de l’île Maurice comme trou aux Biches, Flic en Flac ou Blue Bay. Prévoyez du liquide pour les marchés et les petits commerces, mais aussi pour vos excursions. Rater une superbe sortie plongée parce qu’on n'a plus le temps d’aller au village chercher de quoi payer, c’est quand même rageant. Le prix de l’hébergement et de la location peuvent doubler en haute saison, entre novembre et mars et à la période des fêtes. Réservez tôt dans tous les cas. Nous vous conseillons de prendre un vol direct pour votre voyage. Le trajet étant déjà assez long, vous réduirez votre temps de trajet et passerez ainsi plus de temps sur place. Avec notre comparateur de vols, vous trouverez tout de suite celui qui vous convient. Nous avons imaginé pour vous une semaine paradisiaque à l’île Maurice. Au programme visite d’un jardin ou d’une réserve naturelle, excursion en bateau, et une journée d’activités sportives plongée ou randonnée pour le budget élevé. Le prix de la restauration comprend, par jour, un repas type sandwich et un dîner dans un restaurant. C’est parti pour de superbes vacances ! Estimation du prix d'un voyage à l'Ile Maurice sans agence Estimation par personne pour une durée de 7 jours Budget moyen Budget élevé Transport aérien A/R, Paris /Maurice/personne 920 € 1150 € Location de voiture d'une durée d'une semaine avec essence * 280 € 350 € Hébergement 2 à 3 étoiles par jour / personne 46 € 79 € Restauration / jour / personne 30 € 42 € Activités plongée/ par jour / personne 14 € 20 € Budget total par personne 1700 € 2300 € Calculé sur une base de 2 personnes. Le budget élevé correspond à la haute saison ou à des prestations plus haut de gamme. * Montant total de la location de voiture à diviser par le nombre de voyageurs. Coût de la vie Le coût de la vie à l'Ile Maurice est en moyenne inférieur de -34% par rapport à la France. Prix des hôtels en € Moyenne des prix des hôtels 1 et 5 étoiles Prix pour se restaurer en € Prix aux restaurants prix des repas, prix d'une bière, prix d'une bouteille d'eau, prix d'un coca-cola Prix du shopping en € Prix d'une robe, prix d'un paquet de cigarettes, prix d'une paire de Nike Prix pour se déplacer en € Prix d'un litre d'essence, prix d'un taxi, prix d'un ticket de bus Prix des activités en € Prix d'une heure de tennis, prix d'une place de cinema Salaire moyen mensuel en € Salaire brut par personne active par mois. Source Banque mondiale Prix moyen calculé sur les grandes villes du pays. Prix indicatifs, source de données Numbeo. Numbeo est un site communautaire, les prix sont alimentés par les internautes
LaCorse compte une académie, Ajaccio, même si la quasi-totalité des formations sont dispensées à Corte. Si vous comptez vous installer sur - L'Etudiant
La Réunion défend les mêmes politiques écologiques que la métropole. Très vite devenue moderne, l'île a malheureusement mal contrôlé sa conversion dans le monde économique. Elle a accepté, par exemple, une utilisation excessive des voitures. Aujourd'hui, la Réunion met au point des stratégies pour basculer vers un modèle biodiversité, un enjeu majeurDans le cadre de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques en France COP21, La Réunion présentera son projet Stratégie Réunionnaise pour la Biodiversité» SRB. Ce programme contribue à une meilleure résilience aux changements climatiques, en sauvegardant la biodiversité. La SRB fédère des actions en matière de protection et valorisation de la nature jusqu'en 2020. Elle s'articule prioritairement sur l'observation et une meilleure connaissance de sa biodiversité, sur la protection de l'environnement, sur la sensibilisation auprès de la société et sur la mise en Å?uvre de stratégies pour lutter contre les espèces paradis végétal et animalier vulnérableL'île a connu il y a peu un engouement écologique grâce à l'adhésion du volcan Pitons de la Fournaise et des cirques au patrimoine de l'humanité par l'UNESCO. Le territoire de la Réunion abrite des zones humides, des récifs coralliens, des espèces endémiques et des forêts à cause de l'augmentation de la population et de la pollution, du changement climatique et de la montée des eaux, le patrimoine naturel est vulnérable et fragile. La Réunion se mobilise alors pour préserver la faune et flore. A travers notamment des associations et agricole d'un champs de canneC'est le cas de Globice, une association agréée au titre de la Protection de l'Environnement », par la Préfecture de La Réunion, depuis 2006. Quatre ans plus tard, elle est devenue membre de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature. Cette association est chargée d'étudier et de conserver les cétacés. Notre objectif est d'améliorer nos connaissances sur les cétacés pour établir des programmes de conservation adaptés», indique Laurent Mouysset, responsable administratif et de sensibilisation de se dote d'outils performants pour recenser les espèces marines des eaux de la Réunion Nous avons un logiciel de traçage pour les cachalots. Cela nous permet de suivre, et de comprendre l'évolution et le comportement des cétacés», si l'impact climatique n'a pas réellement modifié le comportement des cétacés, l'association se charge de limiter au maximum le contact avec la pollution et l'activité humaine. Laurent Mouysset mentionne qu'il faut être prudent sur l'évolution des espèces menacées, comme par exemple le grand dauphin pacifique, qui est sensible à la moindre pollution humaine. Globice fait aussi en sorte d'étudier chaque aménagement, comme l'extension du port de commercialisation, et de comprendre les impacts sur les cétacés». Autre plan d'action de Globice la sensibilisation auprès des écoles, des professionnels du tourisme, ainsi qu'auprès des collectivités énergie et une agriculture durableQui dit environnement, dit énergie renouvelable en 2009, la Réunion gagnait en vitesse sur le protocole de Kyoto, puisque cinq ans plus tôt, elle mettait déjà en place des projets pour lutter contre le réchauffement climatique. Un tiers de l'électricité de l'île volcanique est produit par le recyclage des déchets de la canne à sucre â?? une initiative qui a été lancée, en 2009, par le projet GERRI Grenelle de l'Environnement à La Réunion, Réussir l'Innovation. Pour cela, les deux usines thermiques Gol à Saint Louis et Bois-rouge à Saint André transforment le résidu de la canne à sucre appelée la bagasse en La Réunion élabore plusieurs programmes pour fabriquer de l'énergie renouvelable par des barrages, des panneaux solaires, des centrales thermiques, le stockage d'énergie et par des investissements de l'île ne s'arrêtent pas à l'énergie renouvelable. En effet, La Réunion souhaite désormais créer des logements de haute qualité environnementale. D'ailleurs, ce projet porte déjà ses fruits dans la commune du Port, où des éco-quartiers voient le jour. Pour que l'île devienne propre d'ici 2030, l'un des premiers objectifs concerne le transport. La Réunion s'est déjà engagé à utiliser peu à peu des véhicules électriques, hybrides, et Réunion en quelques chiffres source projet Réunion 2030 â?? GERRI- En 2008, La Réunion a exploité 904 kTEP d'énergie. Elle importe 86,5% de ses ressources énergétiques et en fabrique 13,5%. 70% de l'énergie produite est utilisée sous forme de carburant pour les transports et 30% sous forme d'électricité. Concernant la consommation par habitant, les locaux l'utilisent à environ 20% pour le carburant et 40% de l'électricité 34% d'énergie renouvelable de la production électrique actuelle se décompose en 23% d'hydraulique, 10% de bagasse et biogaz, 0,5% éolien et 0,5% de Aujourd'hui, l'île abrite 800 000 habitants, 1 000 000 d'habitants d'ici La Réunion compte actuellement 430 000 véhicules en circulation.
Ainsi quand le taux de chômage Guyane est de 22,3 % selon l’Insee, il atteint 23,7 % en Guadeloupe et même 26,8 % à La Réunion. Un peu moins fort à Mayotte (19,6 %) ou en Martinique (19,4 %), il reste néanmoins bien plus élevé que les 9,7 % de la France métropolitaine. C’est pire encore concernant le chômage des jeunes, puisqu
Par LINDA DOUIFI le 27/10/2017 à 3h44Mis à jour le 27/10/2017 à 9h17 Fabienne Fontenaud a présenté mardi aux habitants le détail du projet Boma, censé transformer le parc de la ville en un pôle culturel et festif avec des services. Boma, c’est le gros projet porté par la Ville de Saint-Denis-de-Pile. Concrètement, il s’agit de transformer le parc Bômale, bien connu des habitués du festival Musik à pile, en un lieu ressource mêlant à la fois service municipaux, services culturels, lieux de détente, espaces verts, tout en continuant à accuellir des événements tels que MKP ou la fête du 14 Juillet. Je suis convaincue que cet équipement va participer à faire rayonner l’offre culturelle dyonisienne. Je refuse que l’offre se polarise sur les grandes villes. Elle est tout aussi importante en milieu rural », estime Fabienne Fontenaud, la maire. Coût de cette opération d’envergure 4,5 millions d’euros, dont 3,5 consacrés à la construction d’un nouveau bâtiment de 1 200 m². Son ouverture est espérée pour début 2020. En attendant le début des travaux, le projet a été présenté dans son ensemble aux habitants mardi soir, lors d’une réunion publique. De multiples servicesLe bâtiment prochainement construit proposera, pêle-mêle, une salle de médiation culturelle, la médiathèque, une ludothèque avec Portraits de familles, des espaces de travail avec des box dédiés, un pôle numérique, des espaces de réunion, un bureau d’accueil de la conseillère en économie sociale et familiale… mais aussi un guichet unique où il sera possible d’inscrire ses enfants à l’école et pour le périscolaire notamment. C’est un moyen d’inciter les gens à venir découvrir ce nouveau bâtiment. Et, pendant que les parents règlent les papiers, les enfants pourront s’occuper à la ludothèque ou à la médiathèque. »Face à ce nouvel équipement situé en bordure de départementale, tout proche du centre-ville, une seconde entrée va être créée avec, non loin, un parking d’une cinquantaine de places. Derrière, la vaste prairie sera conservée. Enfin, un chemin piétonnier balisera le chemin jusqu’à la chartreuse qui sera réhabilitée. Entre les deux bâtiments, on trouvera la guinguette, relocalisée au cœur du parc, dans le pavillon de jardin lui aussi remis à neuf. Une mairie annexeSi le nouveau bâtiment est espéré pour début 2020, la réhabilitation de la chartreuse ne commencera qu’ensuite. Ce sera beaucoup plus rapide. En un an, les travaux devraient être finis », indique Fabienne Fontenaud. Actuellement, seuls 80 m² sur 300 sont utilisés. Essentiellement pour les conseils municipaux et les cérémonies de mariage et parrainage. À terme, l’ensemble de ce majestueux édifice sera utilisé. Des services municipaux et salle de réunion y seront transférés, la vocation de mairie annexe » sera affirmée et des espaces de médiation artistique où divers ateliers associatifs pourraient se tenir. Aujourd’hui, on a une véritable vitalité associative mais elle est disséminée dans la commune et ne dispose pas forcément d’espaces adaptés », analyse Fabienne Fontenaud. Boma doit corriger tout ça et attirer par là même de nouveaux commerces en centre-ville ainsi que de nouveaux habitants.
Coûtde la vie: une équation difficile. Publié le 23 juin 2022 par Nathalie Cobbaut. Pour le mois de mai, l’inflation a frôlé les 9%. 8,97% très exactement, contre 8,31% le mois précédent. Son plus haut niveau depuis 40 ans. En 1982, elle s’élevait à 9,02% et était essentiellement liée aux deux chocs pétroliers enregistrés
Déjà affectée par la rude séquence des gilets jaunes, l’économie de l’île subit de plein fouet les effets du confinement. Déjà plusieurs semaines que le centre-ville de Saint-Denis est déserté, à quelques jours du 11 mai. Seuls quelques commerces alimentaires n’ont pas baissé le rideau, réduisant leur activité à la vente à emporter. Cari, rougail et gratin, une ardoise propose aux rares passants des spécialités locales, devant une petite terrasse colorée, vide elle aussi. Un cadre ensoleillé et paisible, en réalité habité par l’angoisse des jours à venir. Jean-Charles Nagou est venu livrer ses produits artisanaux à ce restaurant, dont le gérant, qui travaille seul, se réjouit de ne pas avoir de salaire à verser. À l’inverse de son fournisseur, qui craint de ne bientôt plus pouvoir payer ses gars ». Les deux -collègues et amis sauvent les meubles comme ils peuvent, mais ne cachent pas leur détresse face à l’hécatombe qui s’annonce ». Ici, pas d’inquiétude outre mesure en ce qui concerne la santé, puisque la victoire contre le virus semble en bonne voie. Il ne circule que très peu sur l’île. On compte 427 cas – pour la plupart importés – et aucun mort. D’un point de vue économique et social, en revanche, le tableau est plus sombre. Si l’impact du coronavirus marque une rupture inédite pour beaucoup de Français, il a un goût amer de déjà-vu à La Réunion. Il y a dix-huit mois, l’économie réunionnaise avait été paralysée par le mouvement des gilets jaunes, de façon bien plus violente qu’en métropole. Pendant plus de deux semaines, l’île avait été à l’arrêt. Les contestataires bloquaient les principaux axes de circulation, notamment les ports et les aéroports, stoppant l’approvisionnement. Des artisans privés de matières premières, des salariés qui ne pouvaient pas se rendre sur leur lieu de travail, des agriculteurs qui voyaient leurs champs pourrir et leurs bêtes maigrir, les rayons de supermarchés vides, les stations-service et les écoles fermées, les routes bloquées, et même l’instauration d’un couvre-feu, une mesure unique en France. Au bord de l’implosion, la population réunionnaise s’élevait notamment contre le coût excessif de la vie sur l’île. Le budget moyen pour un ménage est 7 % plus élevé qu’en métropole, alors que le revenu médian y est inférieur de 30 %. C’est dans ce contexte insurrectionnel que Jean-Charles Nagou, artisan local, avait créé Entreprises en détresse, un collectif visant à accompagner et à porter la voix des petites entreprises réunionnaises. Un des objectifs mettre en place une cellule d’écoute et d’accompagnement pour les plus vulnérables. À l’heure du coronavirus, Nagou a jugé indispensable de réveiller ce collectif et d’offrir, entre autres, une oreille attentive à ces Réunionnais en détresse. Tous les jours, je reçois des appels de chefs d’entreprise au bord du suicide », confie l’artisan. Une façon de rassembler pour sortir de l’isolement », selon les mots de Karine Infante, restauratrice dans la ville du Port, membre active du collectif. Il reste 67% de l'article à lire. Pour lire la suite de cet article, identifiez-vous ou créez un compte Article réservé Pour lire cet article Consultez nos offres d’abonnement,à partir de 5€/mois. Déjà abonnée ?Identifiez-vous. Vous pouvez aussi acheter le journal contenant cet article ici
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coût de la vie à la réunion 2020