Impose ta chance, serre ton bonheur et vas vers ton risque. À te voir, ils s'y habitueront" Une beau training apres une belle journĂ©e ensoleillĂ©e. Une beau training apres une belle journĂ©e ensoleillĂ©e.

Zemmour, pyromane en libertĂ© Le journaliste et Ă©crivain et chroniqueur livre dans “le BĂ»cher des vaniteux” son journal incorrect de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Eric Zemmour est insatiable. Cinq annĂ©es durant, il aura terrorisĂ© la nomenklatura des plateaux tĂ©lĂ©visĂ©s, pourchassant les mots et les maux du politiquement correct, dans l’émission de Laurent Ruquier. Au fil de ses douze livres, il aura dĂ©construit, dĂ©sossĂ©, sabordĂ© la pensĂ©e unique et combattu les ressorts du conformisme intellectuel. En peu de temps, il aura envahi l’espace mĂ©diatique, sur RTL, iTĂ©lĂ©, Paris PremiĂšre, M6, France 2, le Figaro Magazine, le Spectacle du monde
 Zemmour analyse, Zemmour invective, Zemmour combat, Zemmour convainc, Zemmour Ă©nerve et, enfin, Zemmour jubile. Car l’annĂ©e 2011 aura Ă©tĂ©, pour lui, le dĂ©licieux spectacle de la chute des idoles que tous ont adorĂ©es, et qu’il a toujours – farouchement – combattues. Les voilĂ , ces torches humaines, ces vaniteux qu’il a pris tant de plaisir Ă  voir s’enflammer ce sont DSK et les dictateurs arabes, balayĂ©s comme des poussiĂšres par le souffle ironique de l’Histoire. Mais leur embrasement ne suffit pas au bonheur du Zemmour. Ce qu’il prĂ©fĂšre, ce sont les vaniteux de seconde zone, consommateurs en masse du prĂȘt-Ă -penser, qui prĂ©disaient l’arrivĂ©e triomphale de la dĂ©mocratie en Tunisie, en Égypte et en Libye. Et qui ont vu surgir des urnes la charia, rebaptisĂ©e “islam modĂ©rĂ©â€. Depuis le studio de RTL oĂč il campe du lundi au vendredi Ă  7 h 15, rue Bayard, Zemmour se gausse Ă  leur vue. Dieu se rit des hommes qui se plaignent des consĂ©quences dont ils chĂ©rissent les causes », pense-t-il aprĂšs Bossuet en son for intĂ©rieur. Il livre ici un an de chroniques, ou du moins une sĂ©lection, qu’il complĂšte en sacrifiant Ă  la mode du moment par une sĂ©rie de portraits de candidat, axĂ©s sur leur psychologie plus que sur leurs confidences. Les thĂšmes chers Ă  l’impertinent sont lĂ , bien prĂ©sents l’assimilation, la critique – globale – de la mondialisation, englobant l’aspect financier et l’immigration
 Zemmour prend l’actualitĂ©, la pĂ©trit pour l’encastrer dans le moule de sa pensĂ©e. Ce pourrait ĂȘtre un reproche, si cela ne fonctionnait Ă  merveille quand Zemmour Ă©vite de prendre part Ă  l’euphorie collective, c’est pour paraĂźtre moins ridicule quand la rĂ©alitĂ© en rĂ©vĂšle les failles. Puis vient le procĂšs. Le temps oĂč tout s’arrĂȘte, et oĂč l’effroyable machine dont il a tant dĂ©montĂ© les mĂ©canismes, dĂ©cortiquĂ© les rouages, la pensĂ©e unique, lui adresse un magnifique pied de nez. Tu es allĂ© trop loin », lui dit-elle. Le nouvel ordre moral est en marche. Il doit se taire. Un temps. Éric Zemmour a confiĂ© Ă  Valeurs actuelles son sentiment sur le procĂšs Ce fut une pĂ©riode trĂšs difficile, que je ne souhaite Ă  personne, pas mĂȘme Ă  mon pire ennemi. Ceux qui m’ont attaquĂ© n’ont pas voulu me combattre, ni combattre mes thĂšses, mais me rĂ©duire au silence. Me priver de mes tribunes. » Quand il Ă©voque cet Ă©pisode, sa voix se fait plus calme. L’énergumĂšne, par ailleurs si sympathique, n’a plus envie de rire. Mais les gens m’ont sauvĂ©. Ils ont Ă©crit, tĂ©lĂ©phonĂ©, et mes employeurs ont tenu bon. » On se demande pourquoi, malgrĂ© l’avertissement, Zemmour ne s’est pas tu. Un on-ne-sait-quoi le galvanise. Il philosophe, citant RenĂ© Char Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. » On peut crier au gĂąchis quand un Ă©crivain, fin lettrĂ©, amoureux de Balzac et de ses Illusions perdues, livre son bloc-notes quotidien Ă  l’oral. Il s’affranchit pourtant allĂ©grement des rĂšgles d’usage lĂ  oĂč la radio impose une frustrante uniformitĂ©, lui transgresse et parle comme il Ă©crit. Zemmour avoue s’inspirer de Mauriac. Pour le plaisir de son auditoire. VoilĂ  un homme en libertĂ©. SurveillĂ©e. Mais celui qu’on a aimĂ© dĂ©tester est devenu celui qu’on se surprend Ă  aimer, et qu’on a dĂ©testĂ© voir condamnĂ©. Il avoue avoir pris un certain plaisir Ă  craquer, lui aussi, sa petite allumette dans “le bĂ»cher des vaniteux”. Il avoue se savoir en sursis. Mais, prĂšs du feu, il jette joyeusement du bois mort et fait crĂ©piter les flammes. Zemmour jubile. Geoffroy Lejeune Le BĂ»cher des vaniteux, d’Éric Zemmour, Albin Michel, 350 pages, 17 €.

vavers ton risque Ă  te regarder ils s'habitueront - Topic impose ta chance , serre ton bonheur et du 16-01-2011 00:07:51 sur les forums de jeuxvideo.com
La Lettre de Go Management qu'il ne faut pas ratermardi 01 dĂ©cembre 2020 La cohĂ©rence cardiaque La cohĂ©rence cardiaque est une pratique personnelle de gestion du stress qui entraine de nombreux bienfaits sur la santĂ© physique, mentale et Ă©motionnelle. Il s’agit d’apprendre Ă  observer sa respiration afin de rĂ©guler son stress et son anxiĂ©tĂ©. Cette technique simple permet de rĂ©duire aussi la dĂ©pression et la tension artĂ©rielle. Il existe sur IPhone et AndroĂŻd une application, RespiRelax+, qui aide Ă  atteindre cet Ă©tat dit de cohĂ©rence cardiaque. DÉVELOPPEMENT PERSONNEL Tomber sept fois
 Tout professionnel de la relation d’aide connait ce sentiment de dĂ©sarroi, de dĂ©couragement, de dĂ©ception, suscitĂ© lorsqu’advient une rechute. Pour le client, comme pour le praticien lui-mĂȘme, c’est l’impression de revenir en arriĂšre, la remise en question des progrĂšs, la peur de ne jamais en sortir, parfois aussi la culpabilitĂ© et mĂȘme la honte
 L’horizon se bouche, le doute s’installe, le dĂ©sespoir envahit tout le champ de l’attention
 et pourtant
 la rechute est aussi, bien souvent, riche en enseignements et en opportunitĂ©s. On peut mĂȘme dire qu’elle fait partie intĂ©grante du processus de changement, qui n’est quasiment jamais un processus linĂ©aire. LEADERSHIP & MANAGEMENT Le Management ne s’apprend pas.... Un fonctionnement dĂ©faillant, une rĂ©forme inachevĂ©e, des directives non suivies des faits ou une absence de motivation sont souvent expliquĂ©s par une absence et/ou un mauvais management. La solution aux dysfonctionnements ne rĂ©side pas uniquement dans l’allocation de ressources supplĂ©mentaires mais aussi dans la maniĂšre dont les ressources humaines sont animĂ©es et organisĂ©es. La notion management a Ă©tĂ© initiĂ©e comme discipline Ă  part entiĂšre nĂ©cessitant des thĂ©ories, des mĂ©thodes, des outils et des compĂ©tences Ă  partir des annĂ©es 1930 et gĂ©nĂ©ralisĂ©e dans les annĂ©es 1960. En provenance des États-Unis la notion se... SCIENCES &IDÉES Paul Watzlawick et la communication humaine Selon le psychologue autrichien Paul Watzlawick, la communication joue un rĂŽle fondamental dans nos vies et dans l’ordre social, mĂȘme si nous en sommes Ă  peine conscients. En effet, depuis le dĂ©but de notre existence nous participons au processus d’acquisition des rĂšgles de communication immergĂ©es dans nos relations, mĂȘme si nous ne le rĂ©alisons pas. Petit Ă  petit, nous apprenons ce qu’il faut dire et comment le dire, ainsi que les multiples formes de communication existant dans notre vie quotidienne. Cela semble ĂȘtre incroyable qu’un processus aussi complexe passe autant inaperçu et que nous l’automatisions presque sans effort conscient. CONTENU RÉCENT Ni Dieu, ni maĂźtre, ni certification !Paul Watzlawick et la thĂ©orie de la communication humaineLe Management ne s’apprend pas mais se rĂ©apprend Tomber sept fois...Etre la cause de ce qui nous arrive
RenĂ©Char est l’un des plus grands poĂštes français du XXe siĂšcle. NĂ© en 1907 et mort en 1988, son existence s’étend sur quasiment tout le siĂšcle. Connu pour son engagement
RĂ©sumĂ© du livre “Les vertus de l’échec” de Charles PĂ©pin L’échec n’a pas bonne presse, et pourtant, s’il n’était pas justement l’unique moyen d’apprendre, de comprendre, de dĂ©couvrir, d’oser
 bref de rĂ©ussir ; Les vertus de l’échec, en dĂ©taillant chacun des aspects positifs de l’échec, et riche d’exemples divers, en fait sa cĂ©lĂ©bration, on referme l’ouvrage en ayant changĂ© de vision ! Par Charles PĂ©pin, 2016, 192 pages Note Cette chronique est une chronique invitĂ©e rĂ©alisĂ©e par Eric Goyer de Vivre Sans Peur Chronique et rĂ©sumĂ© de “Les vertus de l’échec” de Charles PĂ©pin Introduction Charles PĂ©pin nous invite dans Les vertus de l’échec Ă  considĂ©rer l’échec sous une forme inhabituelle. Au-travers de tĂ©moignages de personnages dont on connaĂźt les succĂšs, de l’analyse d’autres cultures face Ă  l’échec, de concepts philosophiques, de citations, etc. il nous emmĂšne peu Ă  peu vers une redĂ©couverte de la conception de l’échec, thĂšme pourtant si peu vendeur dans nos sociĂ©tĂ©s occidentales actuelles qui vantent la performance et le succĂšs. En prĂŽnant les vertus d’échouer, de rater, l’auteur nous livre au fur et Ă  mesure des chapitres, une nouvelle vision des nombreux bienfaits insoupçonnĂ©s d’échouer. ` Rater, ne serait-ce pas finalement 
 rĂ©ussir, mais, plus tard, mieux et diffĂ©remment ? Chapitre 1 – L’échec pour apprendre plus vite Un jeune Espagnol de 13 ans vient de perdre la œ finale d’un tournoi de tennis face Ă  un prodige français de l’époque, du mĂȘme Ăąge que lui, Richard Gasquet, considĂ©rĂ© Ă  l’époque et dans ce milieu comme le petit Mozart du tennis français ». Ce jeune Français surdouĂ© rĂ©ussit dĂ©jĂ  tout ce qu’il entreprend ; ainsi, la continuitĂ© de sa rĂ©ussite semble comme couler de source. Il y a, en effet, une sorte de logique Ă  continuer de rĂ©ussir ». Le jeune Espagnol, en revanche, a dĂ©jĂ  fait l’expĂ©rience de nombreux Ă©checs ; il y est donc habituĂ© mais continue d’aller de l’avant, de travailler ses faiblesses, de progresser. Ce match prĂ©cis, qui se solde par un cuisant Ă©chec, sera dĂ©fini par le jeune Espagnol comme le point de dĂ©part de sa rĂ©ussite future. Ce jeune Espagnol qui vient d’échouer, c’est Rafael Nadal. Et l’histoire nous montrera ensuite que le champion final est bel et bien Nadal. En conclusion, c’est donc celui qui a subi le plus de difficultĂ©s, de revers, d’échecs qui triomphe, et de loin. Par cet exemple frappant, l’auteur nous montre que, si on veut rĂ©ussir, il faudrait mĂȘme se dĂ©pĂȘcher d’échouer, plutĂŽt que de rechercher ou d’espĂ©rer un succĂšs immĂ©diat. Car ce sont prĂ©cisĂ©ment ces situations d’échec qui vont nous apprendre, nous donner des leçons et nous permettre de nous amĂ©liorer. Cela souligne l’importance, le pouvoir et la nĂ©cessitĂ© des Ă©checs qui vont nous amener, nous guider vers les rĂ©ussites attendues. L’échec ne revĂȘt donc plus cette connotation nĂ©gative mais au contraire, va nous servir de guide et nous permettre d’aller au-delĂ  de ce qu’on aurait vĂ©cu ou appris, en rĂ©ussissant du premier coup. En tant qu’enseignant, l’auteur a observĂ© que les Ă©lĂšves qui ont rĂ©ussi les Ă©preuves de test ne sont pas ceux qui ont finalement dĂ©crochĂ© une bonne note lors des concours d’entrĂ©e aux grandes Ă©coles. Mais ce sont ceux qui ont ratĂ© les examens d’entraĂźnement qui, non seulement se sont surpassĂ©s, mais ont Ă©galement dĂ©passĂ© leurs concurrents. Cet Ă©chec apparent » aux tests leur a permis de travailler Ă  nouveau, de se prĂ©parer encore, de se remettre en question. L’auteur souligne Ă©galement qu’en France, un Ă©chec est cachĂ©, tabou et en aucun cas, mis en avant. On ne ressent aucune fiertĂ© Ă  avoir ratĂ© ou Ă©chouĂ© mais plutĂŽt de la honte. En France, avoir Ă©chouĂ©, c’est ĂȘtre coupable ; alors qu’aux Etats-Unis, avoir Ă©chouĂ© c’est ĂȘtre audacieux. Ainsi, les AmĂ©ricains conseillent d’aller Ă  la rencontre de l’échec pour obtenir le succĂšs. Ils prĂŽnent le Fail Fast » Ă©chouer vite c’est l’action – et donc potentiellement l’échec – qui est encouragĂ©e ; l’échec est gage d’apprentissage. L’adage amĂ©ricain fail fast, learn fast » rate vite, apprends vite » exprime l’idĂ©e que si l’on fait vite l’expĂ©rience de l’échec, on va plus rapidement apprendre. Aux Etats-Unis, l’échec n’existe pas tant qu’on se relĂšve et qu’on teste autre chose. Selon les AmĂ©ricains, celui qui se relĂšve aprĂšs un Ă©chec est considĂ©rĂ© comme Ă©tant au mĂȘme niveau de succĂšs que ceux qui ont rĂ©ussi. Celui qui a ratĂ©, puis rĂ©ussi, est mĂȘme mieux considĂ©rĂ© aux Etats-Unis que celui qui a rĂ©ussi du premier coup. Les sportifs des pays scandinaves, Ă  l’instar des Etats-Unis, arborent fiĂšrement les Ă©checs de leurs dĂ©buts, tels des guerriers qui montrent leurs cicatrices. L’expĂ©rience de l’échec est donc l’expĂ©rience de la vie l’échec dessine le chemin qui va nous permettre d’aller vers le succĂšs. L’échec nous permet de nous heurter Ă  une rĂ©alitĂ© que l’on ne connaissait pas, qui cogne, frappe mais c’est prĂ©cisĂ©ment cette claque qui nous permet d’aller chercher des solutions, des ressources dont on n’avait pas idĂ©e, qui existaient dĂ©jĂ  mais qui attendaient d’ĂȘtre confrontĂ©es Ă  un Ă©chec, une difficultĂ©, une crise, pour pouvoir se rĂ©vĂ©ler. Chapitre 2 – L’erreur comme seul moyen de comprendre Gaston Bachelard la vĂ©ritĂ© n’est jamais qu’une erreur rectifiĂ©e » L’erreur est une notion souvent couplĂ©e avec le concept d’échec. Elle est ici prĂ©sentĂ©e comme Ă©tant la seule possibilitĂ© pour nous de comprendre et d’avancer. L’exemple est pris avec les scientifiques pour eux, il semble Ă©vident et admis que l’erreur fait partie inhĂ©rente de leurs recherches. Si les scientifiques s’arrĂȘtaient Ă  leurs observations, et en tiraient d’immĂ©diates conclusions, sans recherche contradictoire, alors aucune dĂ©couverte n’aurait vu le jour. L’erreur, et avec elle, l’échec, est donc l’étape nĂ©cessaire pour aller vers quelque chose qui fonctionne. Thomas Edison, inventeur multiple, a dĂ©posĂ© plus de 1 000 brevets dans sa vie. Il savait qu’il fallait d’abord Ă©chouer pour ensuite rĂ©ussir. Il se disait fascinĂ© par tout ce que les Ă©checs lui apprenaient. En France, la vertu de l’erreur est enseignĂ©e dans les laboratoires de recherche. Le contraste est cependant Ă©norme dans l’enseignement primaire français oĂč la vertu de l’échec semble ĂȘtre complĂštement ignorĂ©e. Quand on est Ă  l’école en France, un Ă©lĂšve qui rate un exercice est montrĂ© du doigt. Il a un mauvais rĂ©sultat » et ce mauvais rĂ©sultat est interprĂ©tĂ© comme une absence de travail ou de volontĂ©. Alors que selon le point de vue des chercheurs, cette erreur est une Ă©tape nĂ©cessaire vers la comprĂ©hension. Le peut mieux faire », culpabilisant et humiliant, si souvent donnĂ© dans nos Ă©coles, n’est jamais considĂ©rĂ© comme une Ă©tape nĂ©cessaire Ă  la comprĂ©hension. Comment accepter de tomber, de se relever et d’y retourner et de recommencer encore et encore si on n’accorde aucun crĂ©dit Ă  l’erreur et Ă  l’échec ? L’interprĂ©tation de l’adage bien connu l’erreur est humaine » est multiple selon les cultures. En France, on limite son contenu et on n’encourage pas spĂ©cialement cet autre proverbe, pourtant riche d’enseignement cent fois sur le mĂ©tier remettez votre ouvrage ». Il faudrait peut-ĂȘtre revoir notre interprĂ©tation de l’erreur pour arriver Ă  vĂ©ritablement intĂ©grer que celle-ci, avec l’échec, est une Ă©tape nĂ©cessaire Ă  l’apprentissage et Ă  la comprĂ©hension. Chapitre 3 – La crise comme fenĂȘtre qui s’ouvre Friedrich Hölderlin lĂ  oĂč croĂźt le pĂ©ril
 croĂźt aussi ce qui sauve ». Trop souvent, nous avons tendance Ă  voir l’échec comme une porte qui se ferme. Et si c’était aussi une fenĂȘtre qui s’ouvre ? Car c’est dans la difficultĂ© qu’on trouve aussi un Ă©tat qui va grandir et qui peut nous aider Ă  nous amener vers un nouvel Ă©tat. Chaque problĂšme peut ĂȘtre aussi considĂ©rĂ© comme une opportunitĂ© dĂ©guisĂ©e. L’échec serait donc la composante indispensable pour rĂ©ussir ou dĂ©couvrir autre chose. Crise » vient du verbe grec Krinein » qui signifie sĂ©parer. Dans la crise, deux Ă©lĂ©ments se sĂ©parent, crĂ©ant ainsi une ouverture, oĂč il sera possible de lire ou d’agir. C’est comme si une crise, une difficultĂ©, un Ă©chec ouvrait une faille ou une fissure qui va permettre Ă  un nouvel Ă©tat d’éclore. Les Grecs utilisent le terme Kairos » pour dĂ©signer le moment ou quelque chose de rĂ©el se rĂ©vĂšle Ă  nous et d’une maniĂšre inĂ©dite, qu’on n’attendait pas, qu’on n’avait pas anticipĂ©e. On peut traduire cette opportunitĂ© comme une occasion favorable » ou un moment opportun ». Si donc on considĂšre une pĂ©riode de crise comme un Kairos, alors la crise est considĂ©rĂ©e comme une pĂ©riode pourvoyeuse d’opportunitĂ©s, de nouvelles failles qui vont laisser apparaĂźtre de nouvelles occasions qu’on n’aurait pas pu voir sans cette crise. Sans Ă©chec, on reste dans notre petit confort qui fonctionne, empĂȘchant ainsi de voir de nouvelles opportunitĂ©s. C’est grĂące aux crises que l’on va se mettre en mode recherche de solutions ». On a donc ce choix entre subir l’évĂ©nement ou se mettre en quĂȘte de solutions via la dĂ©couverte, la rencontre, une autre comprĂ©hension. C’est la crise, l’échec, qui va ĂȘtre source d’enseignements. Aussi, les moments de vie qui rĂ©vĂšlent une crise sont des moments dont on se serait bien passĂ©, qu’on souhaite Ă©viter de prime abord. Mais ce sont ceux-lĂ  mĂȘme prĂ©cisĂ©ment qui donnent lieu Ă  des enseignements. Cela change donc complĂštement la donne et notre relation par rapport Ă  l’échec puisque l’échec est quelque chose que l’on cherche Ă  Ă©viter alors que c’est prĂ©cisĂ©ment un Ă©tat que l’on devrait aller chercher. L’auteur prend l’exemple de la dĂ©pression, maladie bien connue de nos sociĂ©tĂ©s actuelles. Il dĂ©finit la dĂ©pression comme une invitation particuliĂšrement douloureuse Ă  ouvrir une fenĂȘtre sur ce que nous ne voulons pas voir ». La dĂ©pression nous force Ă  regarder en face l’écart entre notre existence et ce que nous en attendons ». Dans nos cultures, malheureusement, on nous apprend Ă  voir l’échec comme un fait nĂ©gatif ; il est conseillĂ© d’éviter les Ă©checs, les erreurs, au maximum. On est donc privĂ© des seuls Ă©lĂ©ments sources d’apprentissage
 Pourrait-on ainsi changer nos habitudes et, face Ă  un Ă©chec ou une crise, craint ou avĂ©rĂ©, se dire qu’est-ce qui devient intĂ©ressant et qui commence maintenant ? Qu’est-ce qui est en train de naĂźtre de cette difficultĂ© ? ». Chapitre 4 – L’échec pour affirmer son caractĂšre Charles de Gaulle “La difficultĂ© attire l’homme de caractĂšre, car c’est en l’étreignant qu’il se rĂ©alise lui-mĂȘme.” Dans ce chapitre de Les vertus de l’échec, la talentueuse chanteuse Barbara raconte Ă©galement ses dĂ©buts si difficiles, faits de huĂ©es et de petits boulots, qui l’ont menĂ©e Ă  un tel talent ; elle rencontre le succĂšs environ 10 ans aprĂšs avoir acceptĂ© un premier boulot de plongeuse. Ce sont les meurtrissures de ces expĂ©riences de l’échec qui l’ont peu Ă  peu forgĂ©e. Les Ă©checs du GĂ©nĂ©ral de Gaulle sont Ă©galement si nombreux alors qu’on ne connaĂźt que de lui sa prestance et ses succĂšs. Il a traversĂ© l’entre-deux guerres avec un sentiment de fiasco chevillĂ© au corps. En effet, durant la PremiĂšre Guerre mondiale, il a connu Ă©chec sur Ă©chec, a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et est privĂ© de combat » au moment oĂč il se sent prĂȘt Ă  combattre. Cette impossibilitĂ© lui fait ressentir un Ă©norme sentiment d’échec, de passer Ă  cĂŽtĂ© de ce qu’il avait Ă  faire. Ses 5 tentatives d’évasion ont toutes Ă©chouĂ©. Il dira Ă©galement qu’il a souvent eu le sentiment de vivre une vie en dessous de ses attentes. Son premier livre, paru en 1934, ne rencontre pas le succĂšs attendu. Son appel du 18 juin 1940 ne reçoit pas le succĂšs supposĂ©. Ce n’est que fin aoĂ»t 1944, Ă  la libĂ©ration de Paris, que Charles de Gaulle rĂ©ussit » et obtient, enfin, la gloire. Abraham Lincoln, prĂ©sident des Etats-Unis, a Ă©galement cumulĂ© les Ă©checs durant plus de 30 ans avant d’arriver au pouvoir. L’auteur prĂ©cise qu’il semblerait que les Ă©checs nous font prendre conscience de notre force de vie. Ce n’est donc pas le seul Ă©lan vital qui a Ă©tĂ© plus fort que l’adversitĂ© mais il s’est nourri des obstacles pour ĂȘtre dĂ©ployĂ©. Tout comme le lierre, qui continue de grimper sur les murs malgrĂ© les obstacles. Ses racines se dĂ©veloppent et trouvent des ressources au milieu mĂȘme des obstacles naturels. C’est Ă©galement ce qui le rend plus rĂ©sistant. Alors que notre Ă©poque veut nous Ă©viter d’avoir la moindre difficultĂ©, les moins jeunes regardent les jeunes sans comprendre pourquoi ils n’essaient pas, ne tentent pas et n’osent pas. L’échec est le contraire de la rĂ©ussite mais c’est un contraire dont elle a besoin. La rĂ©ussite est donc toujours une succession d’échecs et de succĂšs mais elle n’est jamais un simple enchaĂźnement de succĂšs. Chapitre 5 – L’échec comme leçon d’humilitĂ© Steeve Job Le fait d’avoir Ă©tĂ© renvoyĂ© d’Apple a Ă©tĂ© la meilleure chose qui me soit arrivĂ©e » Le mot humilitĂ© » vient du latin humus » qui signifie la terre. Echouer c’est souvent, en effet, redescendre sur Terre. Comme si le fait d’avoir de l’humilitĂ© nous amĂšne Ă  redescendre de notre piĂ©destal et Ă  nous remettre en question. Selon l’auteur, les entraĂźneurs sportifs savent bien qu’il n’existe rien de pire pour un champion que d’ĂȘtre orgueilleux et avoir l’impression d’ĂȘtre intouchable car c’est cet Ă©tat qui va les conduire Ă  rater un match par exemple. Le doute, au contraire, les pousse Ă  se dĂ©passer et Ă  activer leur talent. C’est d’arrĂȘter de se croire supĂ©rieur, pour un athlĂšte, qui va lui faire atteindre la supĂ©rioritĂ©. Les artistes et Ă©crivains font Ă©galement rĂ©guliĂšrement cette expĂ©rience le public n’entend parler que des succĂšs mais souvent il existe de nombreux autres Ă©crits et contenus divers qui n’ont pas reçu le succĂšs escomptĂ©, voire le moindre Ă©cho. C’est toujours cet Ă©chec qui marque le point de dĂ©part d’une nouvelle direction qui, elle, mĂšnera au succĂšs. L’échec est considĂ©rĂ© comme la graine qui va permettre d’insuffler ce qu’il faut pour qu’on puisse aller plus loin. Steeve Job parle de son renvoi d’Apple comme suit. Il dit que cet Ă©chec l’a libĂ©rĂ© de son orgueil, de son arrogance et l’a rendu Ă  nouveau crĂ©atif. La crĂ©ativitĂ© se nourrit donc de l’humilitĂ©. On observe que les savants sont des humains particuliĂšrement humbles en effet, ils Ă©chouent sans cesse. L’échec nous rend plus humble, l’humilitĂ© nous rend plus sage. Et c’est cette sagesse qui va nous permettre de gagner au final. Peu importe le nombre d’échecs car ils vont Ă  chaque fois ĂȘtre source d’enseignement. Si on ressent de l’humilitĂ© au moment oĂč on Ă©choue, on va pouvoir apprendre de cet Ă©chec. Et ainsi s’ouvrir Ă  une nouvelle leçon qui va arriver derriĂšre et nous mettre sur la route du succĂšs. Chapitre 6 – L’échec comme expĂ©rience du rĂ©el EpictĂšte Ce qui dĂ©pend de toi, c’est d’accepter, ou non, ce qui ne dĂ©pend pas de toi » La sagesse stoĂŻcienne prĂ©conise de distinguer ce que je peux changer de ce que je ne peux pas changer. Cette distinction Ă©tant faite, on pourra ensuite se concentrer uniquement sur ce qui est en notre pouvoir de changer. Cette pensĂ©e stoĂŻcienne, qui est aussi une sagesse d’action, nous prĂ©cise bien qu’il est vain de tenter de changer quelque chose sur laquelle on n’a aucun pouvoir, ce qui ne dĂ©pend pas de nous. Combien de fois, en effet, on lutte contre des choses qui ne dĂ©pendent pas de nous ? Combien de fois remettons-nous notre bonheur ou notre bien-ĂȘtre dans les mains de situations ou de personnes qui ne dĂ©pendent pas de nous ? On s’épuise alors Ă  tenter de changer ce qui ne peut pas l’ĂȘtre, alors que cette Ă©nergie pourrait ĂȘtre utilisĂ©e Ă  une situation sur laquelle on peut agir, intervenir. Marc AurĂšle, citĂ© par l’auteur, conseille de partir de cette distinction ce que je peux changer, de ce que je ne peux pas changer avant toute action identifier ce qui ne dĂ©pend pas de soi et ne pas essayer de changer cela. Il nous faut trouver la volontĂ© de changer ce que l’on peut changer, et la force de ne pas chercher Ă  changer ce que l’on ne peut pas changer. Le gain de temps et d’énergie serait incroyable si on pouvait agir de cette maniĂšre. Certaines personnes agissent dĂ©jĂ  ainsi elles expliquent avoir dĂ©cidĂ© d’agir de cette maniĂšre aprĂšs un Ă©chec, ou des Ă©checs successifs. Le contraire de cette sagesse, c’est le dĂ©ni du rĂ©el. Et ce dĂ©ni de l’échec est le meilleur moyen de n’en tirer aucun enseignement. Par exemple, l’auteur partage son expĂ©rience d’enseignant en expliquant que l’élĂšve qui refuse l’échec, en arguant que le professeur note n’importe comment ou en enfouissant sa copie au fond de son sac, ne pourra pas bĂ©nĂ©ficier de l’enseignement de cette non-rĂ©ussite ». Au lieu de considĂ©rer l’échec comme un mauvais moment qu’il nous faudrait oublier le plus vite possible, l’auteur nous enseigne dans les vertus de l’échec l’importance de nous arrĂȘter sur ce moment prĂ©cis, dans nos vies qu’il dĂ©crit comme trop hĂątives ». La sagesse stoĂŻcienne nous propose donc un arrĂȘt sur cet Ă©chec, afin de l’accepter et d’aller vers une nouvelle action. Chapitre 7 – L’échec comme chance de se rĂ©inventer Nietzsche Deviens qui tu es » Devenir qui l’on est » semble une injonction presque paradoxale
 mais elle a besoin de toute une vie et surtout d’oser sortir du confort de l’habitude ». L’auteur est surpris par ces lycĂ©ens qui sont tĂ©tanisĂ©s Ă  l’idĂ©e de s’engager sur une voie qui ne leur correspondra peut-ĂȘtre pas. Il prend l’exemple Charles Darwin biologiste qui a essuyĂ© deux Ă©checs en Ă©tudes de mĂ©decine pour initialement suivre les traces et la volontĂ© de son pĂšre, pour finalement trouver sa propre voie. J. K. Rowling auteur de Harry Potter est Ă©galement un exemple Ă  noter et Ă  garder en tĂȘte. QuittĂ©e par son mari et ayant perdu son emploi, elle se retrouve seule avec un enfant en bas Ăąge et sans emploi. Elle racontera bien des annĂ©es aprĂšs son succĂšs, que c’est en touchant le fond qu’elle a trouvĂ© sa vocation. Elle avait, lors de sa vie de salariĂ©e, bien tentĂ© de mettre en application cette envie d’écrire. Sa nouvelle situation de solitude et de manque d’agent, imposĂ©e, lui a offert la possibilitĂ© de changer son regard sur son Ă©chec et lui donna l’occasion de considĂ©rer diffĂ©remment sa vie. AprĂšs le succĂšs, elle comprit que l’apparente facilitĂ© de sa vie d’avant l’avait dĂ©tournĂ©e de ce pour quoi elle Ă©tait vĂ©ritablement faite. Mais, qui est apparu comme une rĂ©ussite qu’aprĂšs la rencontre de plusieurs Ă©checs. Rester dans notre petit confort » peut nous empĂȘcher de trouver ce qui peut nous faire briller. C’est uniquement quand on est d’accord pour Ă©ventuellement Ă©chouer, que la rencontre avec le succĂšs, c’est-Ă -dire, ce qui va nous rendre heureux risque d’arriver. Il faut donc oser quitter un premier stade de confort, pour essuyer des Ă©checs pour enfin arriver au succĂšs. Sartre tel rocher qui manifeste une rĂ©sistance profonde si je veux le dĂ©placer sera au contraire une aide prĂ©cieuse si je veux l’escalader pour contempler le paysage ». Double pouvoir de ce rocher, comme l’échec a Ă©galement un double pouvoir il est un tremplin pour arriver Ă  un autre stade plus Ă©panouissant. La Fail Conference » de San Francisco est l’occasion, depuis 2009, de prĂ©senter Ă  un public toujours plus nombreux, le pouvoir des Ă©checs rencontrĂ©s par des sportifs ou des entrepreneurs qui ont ensuite connu le succĂšs. Ils expliquent le pouvoir de l’échec, comment celui-ci les a nourris, les a fait se rĂ©inventer en Ă©tant aiguillĂ©s vers l’idĂ©e gagnante, vers une voie qui ne les avait mĂȘme pas effleurĂ©s au dĂ©but de leurs choix initiaux. Les nouveaux entrepreneurs utilisent l’échec comme une vertu, et ce contact Ă  l’échec leur donne cette capacitĂ© de se rĂ©inventer. L’échec est donc valorisĂ© comme ouverture du champ des possibles. Chapitre 8 – L’échec comme acte manquĂ© ou heureux accident Savez-vous que Le crĂ©ateur de la cĂ©lĂšbre marque Honda a Ă©tĂ© d’une mĂ©diocritĂ© affligeante lors de son entretien d’embauche Ă  un poste d’ingĂ©nieur chez Toyota ? Qu’il dĂ©cida alors de fabriquer des scooters
 Et la marque Honda est nĂ©e. Cet exemple illustre bien que cet Ă©chec » au premier regard est finalement Ă  considĂ©rer comme un heureux accident ». Il n’avait nulle conscience de cette envie en lui qui Ă©tait de fonder sa propre entreprise. Un acte qui est ratĂ© est en mĂȘme temps rĂ©ussi. RatĂ© du point de vue de l’intention consciente mais rĂ©ussi du point de vue du dĂ©sir inconscient ». Selon Freud l’acte manquĂ©, c’est l’inconscient qui rĂ©ussit Ă  s’exprimer ». Les lapsus sont des ratĂ©s langagiers qui nous permettent de rĂ©ussir Ă  formuler ce que nous Ă©chouons Ă  exprimer. Pas de surprise donc Ă  ce que nous nous surprenions Ă  vivre des rĂ©pĂ©titions qui ne nous conviennent pas car elles rĂ©vĂšlent l’expression rĂ©ussie de notre inconscient. Michel Tournier a Ă©chouĂ© plusieurs fois Ă  l’agrĂ©gation de philosophie mais est ensuite devenu l’un des plus grands romanciers du XXe siĂšcle. Il semble que le couple Echec / RĂ©ussite » se produise Ă  nouveau. Que sans Ă©chec prĂ©alable, point de rĂ©ussite. Les psychologues proposent aussi de ne pas considĂ©rer les Ă©checs » comme des accidents mais comme des manifestations de dĂ©sir cachĂ© ». De mĂȘme, doit-on considĂ©rer un problĂšme » comme tel ou comme une opportunitĂ© ? Il faut cependant changer son regard sur l’acte vĂ©cu et y poser un regard neuf, l’accepter comme une opportunitĂ©, une manifestation de changement. Le propre de l’inconscient est que nous ne voulons pas voir, pas savoir. Y a-t-il des succĂšs qui sont en fait des Ă©checs ? Question pertinente
 Chapitre 9 – pourquoi l’échec fait-il si mal ? Lao-Tseu L’échec est aux fondements de la rĂ©ussite » Ce chapitre nous montre bien Ă  quel point la culture dans laquelle on baigne Ă  toute son importance. Selon l’auteur, en Europe, la culture de l’erreur est trop peu dĂ©veloppĂ©e ; nous confondons l’échec de notre projet pour celui de notre personne ». Selon Freud, l’enfant doit ĂȘtre confrontĂ© Ă  plusieurs figures d’identification diffĂ©rentes pour oser l’audace. Il doit se confronter Ă  diffĂ©rents exemples. L’échec vient fissurer notre carapace sociale, selon l’auteur. La faillite d’un entrepreneur est toujours trĂšs mal vĂ©cue en France. L’auteur parle de la douleur de l’échec car celui-ci vient fissurer notre image sociale » qui agit comme une carapace ». Alors que c’est cette mĂȘme image sociale qui nous rĂ©duit et nous rend comme accrochĂ© Ă  une image paralysante. Elle nous fige dans un monde, un milieu, un systĂšme de pensĂ©e et de comportement. L’exemple est marquĂ© par les individus qui ont des hauts postes et qui sont finalement cloisonnĂ©s dans des schĂ©mas de pensĂ©e. Chapitre 10 – Oser, c’est oser l’échec RenĂ© Char Impose ta chance, serre ton bonheur et vas vers ton risque » Chaque rĂ©ussite dĂ©marre par une prise de risque et donc une possibilitĂ© d’échec. Elon Musk a fait le pari audacieux des voitures Ă©lectriques. Il ne s’agit pas d’un choix, selon l’auteur, mais d’une dĂ©cision. L’auteur distingue entre dĂ©cision et choix. Pour lui, la dĂ©cision est l’audace de la prise de risque ; alors qu’un choix est raisonnĂ©, expliquĂ©, voire aseptisĂ© et ne comporte aucune audace, donc pas de risque. La souffrance exprimĂ©e par les hauts cadres en entreprise qui suivent des process », en sont un exemple direct. Les process » sont pratiques pour l’entreprise, car chaque salariĂ© est ainsi remplaçable. Mais la crĂ©ativitĂ© n’a en aucun cas sa place dans le process ». Le problĂšme est que ces hauts cadres ne formulent jamais de crĂ©ativitĂ©, ni d’audace. Ils se retrouvent en dĂ©pression car ils se sentent inutiles. Toutes leurs aspirations sont Ă©touffĂ©es et refoulĂ©es. Chaque audacieux qui rĂ©ussit, et dont on connaĂźt souvent uniquement les rĂ©ussites, ont vĂ©cu Ă©normĂ©ment d’échecs. Richard Bronson, homme d’affaires britannique, en connaĂźt un rayon avec certes des rĂ©ussites phĂ©nomĂ©nales mais Ă©galement des Ă©checs cuisants. Sa carriĂšre relatĂ©e dans sa biographie dĂ©marre par un Ă©chec retentissant. Il semble prĂ©senter lui-mĂȘme ses Ă©checs comme des moments presque drĂŽles », ou en tout cas, pleins de vie. Richard Bronson les audacieux ne vivent pas longtemps, mais les autres ne vivent pas du tout ». Selon l’auteur, le vĂ©ritable Ă©chec serait de n’en avoir vĂ©cu aucun ». En effet, ne pas connaĂźtre l’échec c’est finalement l’assurance d’ĂȘtre restĂ© dans sa zone balisĂ©e, de ne jamais avoir rien tentĂ©. DĂšs que l’on prend le risque de tester, c’est qu’on commence Ă  innover, Ă  avoir de l’audace et qu’on se sent vivant et alerte. C’est de ces pĂ©riodes qu’on ressort le plus de plaisir. C’est en se confrontant Ă  la rĂ©alitĂ©, qu’on va avoir le recul nĂ©cessaire et donc la possibilitĂ© de peaufiner et d’amĂ©liorer pour atteindre le mieux. Il ne faut pas laisser tomber mais y retourner et ajuster Ă  chaque fois pour arriver au final Ă  quelque chose qu’on n’aurait jamais pensĂ© pouvoir crĂ©er, si on n’avait pas osĂ© ĂȘtre audacieux, y croire et oser rater, oser l’échec. Plus on va prendre de risque, plus on va ĂȘtre audacieux et plus on va obtenir de risque et plus on va obtenir de vie. Chapitre 11 – Comment apprendre Ă  oser ? Mark Twain DĂ©tournez-vous de ceux qui dĂ©couragent vos ambitions » Comment et Pourquoi oser ? Selon l’auteur, on ne naĂźt pas audacieux mais on le devient au fur et Ă  mesure des essais, des Ă©checs et des rĂ©ussites. Il faut toujours aller plus loin dans ses essais. Il s’agit d’une conquĂȘte », comme le prĂ©cise l’auteur. 3 conditions pour l’audace selon l’auteur avoir de l’expĂ©rience, accroĂźtre sa compĂ©tence, maĂźtriser sa zone de confort pour en sortir. » En effet, celui qui na que peu d’expĂ©rience ne peut pas se rĂ©fĂ©rer Ă  grand-chose et a tendance Ă  y revenir en permanence. Il ne possĂšde pas d’autre point de comparaison. Celui qui a une grande expĂ©rience ne peut pas non plus balayer l’ensemble de ses expĂ©riences et est donc plus Ă  mĂȘme de se laisser porter par son intuition ». Xavier Niel parle de son expĂ©rience et explique son passĂ© scolaire difficile. Pour lui, ce qui a Ă©tĂ© le dĂ©clic, le dĂ©clencheur, a Ă©tĂ© son premier ordinateur offert Ă  l’ñge de 15 ans pour NoĂ«l. Il s’est dĂ©couvert une compĂ©tence qui lui a permis de se sentir audacieux par la suite. L’auteur nous montre aussi que de nombreux artistes prennent exemple sur des pairs qui ont rĂ©ussi. Ainsi, Picasso se serait inspirĂ© de Velasquez ou CĂ©zanne, non pas dans leur style mais dans leur maniĂšre d’agir, dans leur audace. Brassens Ă©galement est inspirĂ© par Charles TrĂ©net, Barbara par Edith Piaf, Ă  l’époque. Se rendre compte que des choses ont Ă©tĂ© possibles par d’autres, rend audacieux. Lorsqu’on manque d’audace, on peut aussi s’inspirer des grands, de ceux qui ont osĂ© et rĂ©ussi car eux vous font comprendre que c’est aussi possible et rĂ©alisable pour vous-mĂȘme. Des proches qui croient sincĂšrement en nous reprĂ©sentent un puissant moteur qui va nous permettre d’avoir encore plus d’audace. L’auteur fustige l’époque actuelle qui met Ă  l’honneur des personnes sans talent, au travers des magazines people, cette espĂšce d’ode Ă  la mĂ©diocritĂ© qui risque, selon lui, d’étouffer notre propre audace et crĂ©ativitĂ© car nous n’avons plus personne Ă  admirer. Attention Ă©galement Ă  ne pas se laisser bloquer par trop de perfectionnisme, vĂ©ritable frein Ă  l’audace ! Ainsi, la sociĂ©tĂ© Google n’arrĂȘte pas de proposer des innovations qui ne trouvent pas toujours leur public. La politique de Google est d’essayer beaucoup, d’échouer beaucoup, pour rĂ©ussir. Les exemples de produits ou de services foisonnent et ne sont pas forcĂ©ment connus de tout le monde les Google glaces » interrompues en 2015, Google Wave », Google Answer », etc. Ces Ă©checs permettent aussi Ă  Google de rĂ©cupĂ©rer de nombreuses informations sur leur marchĂ©, leur audience, etc. Ainsi, la sociĂ©tĂ© avance par meilleure connaissance de son public. Plus on rate, plus on a de chance que ça marche ». Les 4 axes, selon l’auteur, pour oser, sont AccroĂźtre sa compĂ©tence ; Admirer l’audace des autres ; Ne pas ĂȘtre trop perfectionniste ; Se souvenir, que l’échec, sans audace, fait particuliĂšrement mal. Ajoutons que les lectures, les aventures rĂ©elles des personnes inspirantes sont puissantes. Il faut ensuite se lancer et accepter l’échec. Chapitre 12 – L’échec de l’école Montaigne Enseigner, ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu » L’auteur prĂ©sente dans ce chapitre sa pensĂ©e sur l’école française. L’école française n’enseigne pas le cĂŽtĂ© vertueux de l’échec et manque ainsi, selon l’auteur, son rĂŽle. L’élĂšve est maintenu dans le manque de crĂ©ativitĂ©, dans le sentiment de ne pas ĂȘtre assez » assez bien assez beau, assez intelligent, etc.. Les Ă©lĂšves, continue l’auteur dans sa critique, ne sont pas encouragĂ©s, ni fĂ©licitĂ©s dans leur Ă©chec, dans la maniĂšre de s’ĂȘtre trompĂ©s ». Est-ce que noter un peut mieux faire » sur un bulletin de note peut amener vĂ©ritablement un Ă©lĂšve Ă  avoir envie de se surpasser, de s’amĂ©liorer ? Montrer Ă  un Ă©lĂšve que son Ă©chec » est original et peut augurer de succĂšs futurs aurait un tout autre impact sur l’élĂšve et sur son dĂ©sir de recommencer et d’apprendre diffĂ©remment, de dĂ©couvrir des terrains de tentatives, des envies de tests et de dĂ©couvertes, qui eux, sont des tremplins vers la rĂ©ussite. La confiance s’installe et l’élĂšve apprend trĂšs vite et bien mieux. Savoir qu’on a des compĂ©tences change complĂštement la donne et motive les Ă©lĂšves. En France, on ne s’arrĂȘte pas sur l’échec, qui semble tabou et sans valeur au lieu de l’encourager et fĂ©liciter cet Ă©chec. En France encore, l’élĂšve reçoit sa note devant tous les autres, chose non possible aux Etats-Unis. La Finlande semble ĂȘtre le champion de la motivation. Les Finlandais ont jusqu’à l’ñge de 9 ans pour apprendre Ă  lire, les premiĂšres notes apparaissent Ă  11 ans. Les enseignants finlandais ont une grande libertĂ© de trouver leur propre mĂ©thode d’enseignement. En France encore, au cours des conseils de classe, les professeurs soulignent les faiblesses des Ă©lĂšves dans leur matiĂšre au lieu de souligner les excellents rĂ©sultats dans les autres. Encore une fois, on va souligner ce qui ne va pas au lieu de regarder et fĂ©liciter ce qui va. Dans le monde professionnel, il en est de mĂȘme. Nos supĂ©rieurs hiĂ©rarchiques nous rappellent souvent ce qui ne va pas et ne regardent pas ce qui va, mĂȘme si ce qui va est souvent largement supĂ©rieur Ă  ce qui doit ĂȘtre amĂ©liorĂ©. Cette vision des choses nous fait nous questionner aussi sur que faut-il faire ou avoir pour rĂ©ussir son existence ? ». Faut-il ĂȘtre moyen partout ou assumer sa singularitĂ© ? » Nietzsche se pose la question suivante, non pas Que sais-je ? » mais Que vais-je faire de ce que je sais ? ». Que faire des connaissances que j’ai ? Les accumuler pour me rassurer ou bien de me lancer dans l’action ? Chapitre 13 – RĂ©ussir ses succĂšs Jusqu’ici, on a parlĂ© des Ă©checs et du fait de ne pas se laisser arrĂȘter par ses Ă©checs. Maintenant on parle des succĂšs. En effet, il peut y avoir un cĂŽtĂ© pernicieux dans le succĂšs, qui peut nous arrĂȘter, nous stopper, devenant ainsi victimes de notre succĂšs. Le succĂšs peut nous faire rester dans une voie qui est toujours la mĂȘme. On peut mĂȘme se dĂ©finir par notre succĂšs au lieu de continuer Ă  chercher, Ă  avancer, Ă  tĂątonner, Ă  continuer nos recherches. Autant il ne s’agit pas de s’identifier Ă  nos Ă©checs, autant il ne faut pas non plus s’identifier Ă  nos succĂšs ! On peut apprĂ©cier nos succĂšs mais sans sy arrĂȘter dĂ©finitivement. Steeve Job restez fou, restez affamĂ©, restez insatiable ». L’auteur souligne l’importance de rester ouvert et de continuer Ă  crĂ©er. Tout comme l’échec. Certains grands sportifs ou entraĂźneurs ne s’arrĂȘtent pas aux succĂšs et continuent ainsi de rechercher des stratĂ©gies pour continuer Ă  innover, Ă  inventer pour de nouveau ĂȘtre les meilleurs et ne pas copier ce qui a Ă©tĂ© dĂ©jĂ  Ă©tĂ© fait. L’auteur nous invite Ă  continuer Ă  tester, Ă  innover et Ă  ne pas s’endormir sur nos succĂšs. La crĂ©ation produit le plaisir et elle nous redĂ©finit. Pour rĂ©ussir ses succĂšs, il semble falloir les considĂ©rer comme nos Ă©checs. Les savourer certes, mais ne pas s’y attarder plus que ça et ne pas les considĂ©rer comme acquis, comme la recette Ă  appliquer sans relĂąche. Il faut au contraire, continuer de tester et d’inventer. Chapitre 14 – La joie du combattant Corneille A vaincre sans pĂ©ril, on triomphe sans gloire » Cette cĂ©lĂšbre formule de Corneille dans Le Cid nous rappelle que le bonheur ne peut ĂȘtre atteint sans Ă©chec. Il faut avoir goutĂ© de la lutte, du combat, de l’échec pour rĂ©ussir Ă  savourer la rĂ©ussite. AndrĂ© Agassi, dans son livre autobiographique Open, raconte sa pĂ©riode noire de descente aux enfers suivie par une renaissance dĂ©clenchĂ©e par sa confrontation avec l’accident grave de la fille de son meilleur ami. Face Ă  la douleur de celui-ci, Agassi Ă©prouve une soudaine rage et envie de vivre qui va le pousser Ă  revenir Ă  la vie. Il reconsidĂšre la vie sous un angle complĂštement diffĂ©rent et sait maintenant pourquoi il dĂ©cide de reprendre sa vie en main et le tennis il veut crĂ©er une fondation pour les enfants dĂ©favorisĂ©s et la financer. Ce retour en pole position » nĂ©cessite souffrance et courage. Mais il ne poursuit dorĂ©navant plus le rĂȘve de son pĂšre mais son propre dĂ©sir ». De retour au sommet de la gloire, Agassi remercie ses Ă©checs passĂ©s qui, sans les avoir vĂ©cus, ne lui auraient pas permis de goĂ»ter Ă  nouveau Ă  ce bonheur extrĂȘme. John Travolta, suite Ă  de nombreuses critiques importantes, revient Ă©galement au succĂšs avec le superbe film de Tarantino dans Pulp Fiction ». Ces scĂšnes aussi belles effectuĂ©es par Travolta sont uniquement dues aux Ă©checs et dĂ©convenues passĂ©es. La lutte et l’échec, l’adversitĂ©, permettent d’atteindre le bonheur et le plaisir des petites joies quotidiennes. La joie a besoin de l’adversitĂ© pour se vivre et se faire ressentir. La joie a besoin d’ĂȘtre menacĂ©e pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e. La prise de risque, qui est contraire Ă  la tiĂ©deur si souvent recherchĂ©e, permet ainsi de ressentir le bonheur. LĂ©onard de Vinci et son Ɠuvre magnifique
 cette fureur crĂ©atrice qui l’habite a Ă©tĂ© le fruit de doutes, de souhaits maintes fois ressentis de renoncement et reprise d’essais, puis d’hĂ©sitations
 pour donner place Ă  ces merveilles artistiques et technologiques reconnues dans le monde entier. Chapitre 15 – L’homme, cet animal qui rate Bergson L’homme est le seul animal dont l’action soit mal assurĂ©e, qui hĂ©site et tĂątonne, qui forme des projets avec l’espoir de rĂ©ussir et la crainte d’échouer » L’auteur se demande ici si certains Ă©checs peuvent ne rien nous apprendre ? Existe-t-il des Ă©checs dont on ne se relĂšve pas ? Le parallĂšle entre l’animal et l’homme est flagrant l’animal ne rate jamais alors que l’homme n’a pas l’instinct naturel suffisamment fort. Ce sont donc ses Ă©checs successifs qui vont lui apprendre. Nos programmations humaines ne sont pas les mĂȘmes que celles des animaux. Le jeune enfant aura besoin de 2000 chutes pour apprendre Ă  marcher. Alors que le jeune poulain peut marcher quelques heures aprĂšs sa naissance. Selon certaines Ă©tudes scientifiques, le fƓtus humain naĂźtrait trop tĂŽt. Pour progresser, le jeune humain a besoin d’échecs et de tentatives, de l’expĂ©rience de ses aĂŻeux. Mais les progressions atteintes seront immenses par rapport aux jeunes animaux. Savoir vivre, pour le jeune humain, c’est savoir faire quelque chose de ses ratĂ©s ». Le renard saura dĂ©tecter quelle baie est nocive pour lui aprĂšs quelques dĂ©boires. Mais les apprentissages des animaux sont minimes au regard de ce qu’ils savent d’instinct dĂ©tecter. Ils ne peuvent pas non plus transmettre leur expĂ©rience aux gĂ©nĂ©rations suivantes. Selon Freud, les liens humains sont créés pour faire face Ă  notre dĂ©tresse de naissance prĂ©coce. Contrairement aux liens familiaux animaux qui suivent une toute autre rĂšgle. C’est notre Ă©chec de la nature en notre espĂšce humaine qui nous fournit en mĂȘme temps toute notre grandeur. C’est notre Ă©tat d’animal ratĂ© » qui fait de nous des ĂȘtres capables de crĂ©ativitĂ©, de sublimation. Nous pouvons certes rater mais sommes capables de rebondir, analyser nos Ă©checs er pouvons progresser. C’est parce que nous savons faire une force de nos Ă©checs, que nous nous distinguons des bĂȘtes. Chapitre 16 – Notre capacitĂ© de rebond est-elle illimitĂ©e ? Quelles sont nos diffĂ©rentes capacitĂ©s de rebond ? 1Ăšre option choisir son camp entre psychologues et thĂ©rapies comportementales Deux Ă©coles s’opposent les thĂ©rapeutes comportementalistes et les psychologues freudiens ou lacaniens. Les premiers pensent vain le fait de s’allonger pendant des annĂ©es pour rĂ©soudre ses Ă©checs. Ils proposent d’autres outils. Changer ses reprĂ©sentations, apprendre Ă  voir le verre Ă  moitiĂ© plein et se reprogrammer vers le succĂšs. Les seconds reprochent aux premiers de ne pas considĂ©rer l’inconscient. Ou encore de dĂ©placer le symptĂŽme et de condamner le patient Ă  la rĂ©pĂ©tition. 2Ăšme option sĂ©parer les Ăąges de la vie en privilĂ©giant vers 20 ans une forme d’ivresse, puis laisser passer quelques annĂ©es pour passer sur le divan » pour commencer Ă  se poser des questions. 3Ăšme option, la plus sĂ©duisante selon l’auteur tenter de dĂ©passer les oppositions, se rĂ©inventer le plus possible, renaitre de ses Ă©checs, utiliser les bifurcations et les rebonds » pour se rapprocher le plus possible de qui on est. L’auteur dĂ©cortique la cĂ©lĂšbre phrase de Nietzsche deviens qui tu es ». Ne pas se laisser enfermer par nos Ă©checs mais en faire des opportunitĂ©s Rester fidĂšle Ă  ce qui nous rend singulier, notre cĂŽtĂ© unique. La seule chose qu’on pourrait avoir Ă  se reprocher c’est d’avoir cĂ©dĂ© sur son dĂ©sir, de ne pas l’avoir suivi. Certains perdent tellement de temps et d’énergie Ă  cacher ce qu’ils sont vĂ©ritablement qu’ils n’ont plus assez d’énergie Ă  devenir ce et ceux qu’ils doivent devenir. Notre capacitĂ© de rebond, mĂȘme sans ĂȘtre illimitĂ©e, reste Ă©norme. A nous de prendre acte de nos Ă©checs et d’apprendre Ă  les faire fructifier pour rĂ©ussir notre vie tout entiĂšre. Conclusion sur “Les vertus de l’échec” Les vertus de l’échec est un puissant essai sur l’utilitĂ© et la puissance de l’échec. Chaque chapitre aborde une vision positive de rater. Qu’il s’agisse d’un moyen de grandir, d’apprendre, de dĂ©velopper sa crĂ©ativitĂ©, bref de rĂ©ussir, mais diffĂ©remment. A la fin du livre, on n’ose mĂȘme plus parler d’échec ! Tout semble Ă  revoir. Les vertus de l’échec est un condensĂ© d’optimisme. Il devrait ĂȘtre Ă  conseiller Ă  tous, de l’étudiant Ă  l’entrepreneur, en passant par l’amoureux Ă©conduit. Points forts du livre Les vertus de l’échec Les vertus de l’échec est un livre haletant, qui se dĂ©vore parfois presque comme un roman ; Persuasion de l’auteur par ses exemples trouvĂ©s et illustrĂ©s de cĂ©lĂ©britĂ©s ; Chaque chapitre dĂ©taille un aspect de l’échec, qui peu Ă  peu nous fait reconsidĂ©rer ce thĂšme dans sa globalitĂ© ; Les citations sont excellentes et illustrent parfaitement le chapitre dĂ©veloppĂ©. Point faible du livre Les vertus de l’échec Certaines rĂ©fĂ©rences aux philosophes antiques peuvent parfois apparaĂźtre un peu lointaines, abstraites. La note de Eric Goyer du blog Vivre sans peur Avez-vous lu le livre “Les vertus de l’échec” de Charles PĂ©pin ? Combien le notez-vous ? 7 votes, moyenne 4,29 out of 5Loading...Visitez Amazon afin de lire plus de commentaires sur le livre “Les vertus de l’échec” Visitez Amazon et achetez le livre “Les vertus de l’échec” Poche Eric Goyer de Vivre Sans Peur Recherches utilisĂ©es pour trouver cet article les vertus de lĂ©chec, les vertus de lĂ©chec rĂ©sumĂ©, Charles PĂšpin a affirmĂ© que celui qui n\a point Ă©chouĂ© a ratĂ© sa vie ?, https//des-livres-pour-changer-de-vie com/les-vertus-de-lechec/, Le rĂŽle de lĂ©chec en philosophie
JeanFrançois Manier a bien eu raison d’écouter le poĂšte RenĂ© Char qui Ă©crit dans Les Matinaux : « Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s’habitueront. RenĂ© Char, Rougeur des matinaux BonjourJ'ai le soucis suivant : De ma station 2000Pro/sp4 vers un serveur NT/SP6a. Je me connecte Ă  un lecteur rĂ©seau (clic-droit Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront » RenĂ© Char Par Laurent Ott Quelles sont les conditions, quelles sont les situations qui expriment l’homme, la personne ? Comment allons nous apprendre Ă  devenir nous mĂȘmes dans un environnement qui nous pousse Ă  la prudence, Ă  la suppression de tout risque et Ă  la conformitĂ© et l’appauvrissement des modĂšles de rĂ©ussite ? Ceux qui ne parviennent plus Ă  trouver de place dans un systĂšme Ă©conomique, social, culturel et politique, semblent osciller entre deux maniĂšres de retarder une prise de conscience inĂ©vitable. >> lire la suite 18mars 2016 - Impose ta chance, serre ton bonheur, et va vers ton risque, Ă  te regarder, ils s'habitueront! 18 mars 2016 - Impose ta chance, serre ton bonheur, et va vers ton risque, Ă  te regarder, ils s'habitueront! Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les rĂ©sultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flĂšches Haut et Bas pour parcourir et la touche La poĂ©sie dans tous ses Ă©tats Parler de la vie de la poĂ©sie aujourd'hui, de ce qui la nourrit, la fait vibrer. — via an-act-of-rebellionvia frausakura-deactivated20140731 30 July 2014 146 boo7777777-blog1 liked this xjoyce66 liked this to-the-pine liked this messuk liked this cocteaulove reblogged this from galaad-de-bretagne cocteaulove liked this ajnabi13 liked this sodik33-blog reblogged this from galaad-de-bretagne eva-tss liked this jardindespeines liked this taorique liked this toi-moi-plus-autour reblogged this from alex-g67 dystopiantigone reblogged this from galaad-de-bretagne dystopiantigone liked this sweetmorgane liked this lesoreillesjaunes liked this mxloul-blog liked this lesmains-sales liked this iinezd liked this carloune33 reblogged this from alex-g67 sonolaines liked this gladclub liked this petitdragontim liked this asmallletter-blog liked this opndooor reblogged this from galaad-de-bretagne lesgrandesjambes liked this zaehle-mich-zu-den-mandeln-blog liked this lifeissin liked this soyonsdesinvoltes liked this lmv-h liked this padronag2 liked this takeonce liked this lazy-culotte reblogged this from galaad-de-bretagne tournevole liked this iamjustsonow liked this kindiafi reblogged this from noblemissbennet kindiafi liked this noblemissbennet reblogged this from gilbert-desmee jacquesdor-poesie liked this galaad-de-bretagne posted this Show more notes Tumblr theme by Theme Anorak Back to top 1337citations de RenĂ© Char. Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s’ 1337 citations de RenĂ© Char. Impose ta chance, serre ton bonheur et Forum Accueil du forum Science ludique la science en s'amusant Sondage j'aimerais verifier une hypothese Affichage des rĂ©sultats du sondage Choisissez un nombre au hasard entre 1 et 10 Votants 157. Vous ne pouvez pas participer Ă  ce sondage. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10  RĂ©pondre Ă  la discussion Affichage des rĂ©sultats 31 Ă  59 sur 59 08/03/2005, 18h01 31 subichan Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese - Bonjour Faut pas oublier qu'il se peut aussi que certaines personnes choisissent un nombre avec "pseudo-hasard" puisqu'il n'y a pas de hasard en prenant le jour de naissance d'une conaissance ou d'un jour particulier. enfin juste pour dire qu'il y a plein de contraintes qui nous empĂšche de donner un resultat au hasard. Apres, on refait un sondage mais avec les lettres de l'alphabet ? Non je plainsante bye - 08/03/2005, 22h11 32 mayonaise Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Si on voulait vraiment s'approcher du hazard, il fallait prendre un nobre "n" entre 0 et 1 000 000 et prendre ensuite la niĂšme dĂ©cimale de Pi... LĂ , on aurait un truc plus Ă©quitable non si mes souvenirs sont exacts, il y a autant de 1, que de 2, que de... que de 9, que de 0 dans les dĂ©cimales de Pi... Quelqu'un peut vĂ©rifier avec Mapple ou MathĂ©matica??? Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque. A te regarder ils s'habitueront. ♂ 09/03/2005, 10h03 33 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Je persiste pour l'allitĂ©ration en SSSS qui influence le choix Choisissez hasard = Sept L'inconscient collectif entre peut ĂȘtre aussi en jeu comme vous dites, mai surement pour des raison moins symboliques ou mathĂ©matique. 09/03/2005, 15h12 34 Clover Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Salut! Je confirme, on sait que lorsqu'on demande un chiffre au hasard c'est trĂšs souvent le mĂȘme qui sort... Celui qui apparait dans ce sondage... Pour exemple, j'ai un ami qui fait quelque tour de magie avec des cartes. L'un de ses tours consistent Ă  demander Ă  une personne de choisir une carte, puis il remet la carte dans le tas et mĂ©lange le tout savament. AprĂšs il demande un nombre entre 1 et 10, gĂ©nĂ©ralement c'est ce nombre n qui sort et ce qui parait spĂ©ctaculaire, c'est qu'il laisse Ă  la personne le soin de retourner elle-mĂȘme cette n-iĂšme et Ă©videmment elle se trouve Ă  la bonne place... Evidemment si la personne ne donne pas le chiffre attendu le tour n'est pas ratĂ©... mais moins spectaculaire puisque du coup c'est lui qui manipule les cartes... 10/03/2005, 11h41 35 Mamie Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Hehe... Je suis demasque ! A la base, c'est un tour de magie que j'effectue regulierement dans des bars et qui comme tu dis est impressionnant quand il marche et evite de faire des manipulations plus ou moins louches... Surtout qu'on double la probabilite de tomber sur la bonne carte en comptant les cartes en partant du dessus ou du dessous ! Et j'avais remarque que ca marchait grosso merdo 1 fois sur 2. Ce sondage me le confirme. Quand a l'explication, je crois qu'il faut tenir compte a la fois de l'aspect "logique" mathematique pas le 1 parce que c'est le premier, pas le 2 parce qu'il est pair, etc... mais surtout de l'aspect symbolique 7 merveilles du monde, 7 jours de la semaine, tourner sa langue 7 fois dans sa bouche, les 7 doigts de la main.. euh... bref. En tout cas, c'est fun ! Merci a tous de votre participation et aux futurs participants. Un jour oĂč je n'apprends rien est un jour perdu. 10/03/2005, 23h41 36 mayonaise Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese HĂ© oui mesdames et messieurs, je vous parle en direct de notre marathon des 10 premiers chiffres de l'espace des entiers naturels. AprĂšs un dĂ©part fulgurant, le 7 continue sur sa lancĂ©e et ne semble dĂ©sormais plus inquiĂ©ttĂ© par personne alors que derriĂšre lui se mĂȘne une course impitoyable entre le 5 et le 6 qui sont au coude Ă  coude. Le 2, bon dernier ne semble pas profiter de la piĂštre aspiration provoquĂ©e par le 1 et le 3 qui se sont pourtant entrainĂ©s ensemble vendredi dernier. Ce pendant, ces Ă©nergumĂšnes ne nous ont pas encore montrĂ© tous les tours qu'ils avaient dans leur sac et rien ne saurait ĂȘtre jouĂ© avant l'arrivĂ©e finale qui aura lieu le 17 mars 2005 Ă  18h27. Je vous rapelle qu'en tant que bookmaker officiel du forum, je tiens les paris et que j'ai dĂ©ja pariĂ© sur le 7, mais si vous croyez que je me trompe, ça peut se nĂ©gocier Ă  2 contre 1... Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque. A te regarder ils s'habitueront. ♂ 11/03/2005, 20h37 37 neokiller007 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Moi je dit que si on a des rĂ©ponses a l'infini et bien il y aurait le meme pourcentage de 1 que de 2 que de 3.... ect ect . Vous avez vu comme je suis intelligent ^^ 11/03/2005, 22h07 38 GreG-nap Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese 11/03/2005, 22h24 39 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par chrisgir A mon avis y a un biais dans ton sondage il faut rĂ©partir les nombres au hasard afin de ne pas influencer les votes des gens 1 et 10 devraient sortir moins de fois mais on verra au final Pour moi il y a pas de biais puisque la question qui est posĂ©e est directe et qu'il n'y pas de question pour rĂ©pondre Ă  une autre interrogation. Ce que tu proposes est simplement une autre question. 11/03/2005, 22h28 40 martini_bird Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par mayonaise si mes souvenirs sont exacts, il y a autant de 1, que de 2, que de... que de 9, que de 0 dans les dĂ©cimales de Pi... Quelqu'un peut vĂ©rifier avec Mapple ou MathĂ©matica??? Un tel nombre est dit "normal", mais on ne sait pas si pi est normal ou non. Si tu n'es pas allergique, tu peux regarder ici. Cordialement. 16/03/2005, 10h54 41 tiguĂ©pard Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese On fait des paris???? disons 20€ sur le 3mon chiffre porte-bonheur! enfin c'est marrant que ce soit le 7 en tĂȘte pour l'instant, le 7 c'est un chiffre mystique, il y a donc plus de supersticieux dans ce forum que l'on ne croit.... a+ 16/03/2005, 12h23 42 hubblevega Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Mais si je ne me trompe le 3 est Ă©galement un chiffre mystique non ? J'ai choisie le 7, car c'est celui que je prĂ©fĂšre ecrire Mise Ă  part le 7 je trouve que que les resultats sont rĂ©partis de façon relativement Ă©gale ... Parfois je me dis que le monde est blond 17/03/2005, 07h50 43 tiguĂ©pard Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Ah bon le 3 c'est un chiffre mystique aussi?ah lĂ  tu m'apprends quelque chose...Pourquoi c'est un chiffre mystique? 17/03/2005, 09h37 44 megami Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Ben... la trinitĂ©, les triades divines Indo-europĂ©ennes... la tripartition de la sociĂ©... ah non, ça ça a rien Ă  voir Les chrĂ©tiens ont mĂȘme virĂ© Uriel des archanges pour en avoir que 3, ça faisait mieux... 18/03/2005, 09h12 45 tiguĂ©pard Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese d'accord d'accord merci pour l'info... 18/03/2005, 22h20 46 Mamie Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese And the winner is SEVEN !!!! What a surprise... Nous remarquons donc que le 7 sort 2 fois plus souvent que les autres chiffres. Strange, isn't it ? En tout cas, mon hypothese est bien verifiee notre cerveau est influence par des forces occultes qui nous influencent... Tiens dans la foulee, choisissez un nombre entre 1 et 50... A 2 chiffres... Differents.... Et impairs... 37 ? Bon, ca a la'iar de rien comme ca mais avec une bonne mise en scene et une probilite de 1/2 environ sinon, tentez le 17, c'est bluffant. Tinkiet ! Un jour oĂč je n'apprends rien est un jour perdu. 20/03/2005, 20h31 47 matthias Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Il y a eu un article dans un "pour la science" il y a 1 ou 2 ans dans le mĂȘme genre je crois que c'Ă©tait un "pour la science" ... Le but Ă©tait de demander au gens de donner une sĂ©rie de cinq lettres parmi A,B,C ou D, en essayant de trouver celle qui serait la moins proposĂ©e. Si vous supposez bĂȘtement que les gens rĂ©pondent au hasard, vous proposez un truc du genre AAAAA pour les contrer, et comme tout le monde fait pareil .... Quelqu'un a dĂ©jĂ  lu cet article ? ou l'a en sa possession ? ça pourrait ĂȘtre intĂ©ressant d'essayer 20/03/2005, 23h03 48 360no2 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese 23 y a celle-ci sinon sur notre pensĂ©e "dirigĂ©e" sans doute dĂ©jĂ  vue souvent sur ces pages mais bon... Combien font ‱ 15+6 ‱ 3+56 ‱ 89+2 ‱ 12+53 ‱ 75+26 ‱ 25+52 ‱ 63+32 Allez plus qu'un ! courage ‱ 123+5 VITE! PENSEZ À UN OUTIL ET À UNE COULEUR! marteau rouge ??? et en 2e position, le tournevis... Faites que vos rĂȘve dĂ©vorent votre vie avant que votre vie ne dĂ©vore vos rĂȘves ! 21/03/2005, 10h28 49 Clover Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese 23? Pour rĂ©pondre Ă  mamie?? ça ne marche pas, les deux chiffres doivent ĂȘtre impairs si j'ai bien compris... ++ Clo' 21/03/2005, 17h50 50 360no2 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese effectivement j'avais mal lu... Faites que vos rĂȘve dĂ©vorent votre vie avant que votre vie ne dĂ©vore vos rĂȘves ! 23/03/2005, 07h53 51 Romain-des-Bois Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par Mamie And the winner is SEVEN !!!! En tout cas, mon hypothese est bien verifiee notre cerveau est influence par des forces occultes qui nous influencent... Ou que ~comme moi~ beaucoup sont nĂ©s le 07-07-***7 Le 7 s'est imposĂ© Ă  moi comme mon chiffre fĂ©tiche. 23/03/2005, 10h18 52 tiguĂ©pard Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese AprĂšs avoir fais les additions de 360no2 j'ai bel et bien rĂ©pondu marteau rouge!c'est halucinant! 23/03/2005, 12h12 53 Dordon Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese pelle bleue pour ma part Dr. Dn 23/03/2005, 15h31 54 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese ce qui est marrant est de voir que les deux chiffres les plus courant 7 et 3 sorte du lot et que le 2 par contre est un mal aimĂ©?? les autres chiffres apparaissent comme plutĂŽt neutre... 24/03/2005, 20h13 55 √5+1/2 Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par 360no2 23 y a celle-ci sinon sur notre pensĂ©e "dirigĂ©e" sans doute dĂ©jĂ  vue souvent sur ces pages mais bon... marteau rouge ??? et en 2e position, le tournevis... Je la connais je la fait a tout le monde, c'est Ă©norme comme truc. mais a l'oral ca marche mieux... Sinon pour le chiffre 7 c'est normal parce que ce chiffre est plus que hautement symbolique 08/04/2005, 17h32 56 jess n'ohm Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese J'aurai votĂ© deux, pour rééquilibrer Ă  mon humble Ă©chelle les rĂ©sultats. Par contre, je soupçonne nombre d'entre vous de ne pas avoir respecter la consigne qui a pris dix boules avec un chiffre diffĂ©rent dans chaque pour n'en retenir qu'une ? DerniĂšre modification par jess n'ohm ; 08/04/2005 Ă  17h33. Motif orthographe 08/04/2005, 18h58 57 matthias Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par jess n'ohm Par contre, je soupçonne nombre d'entre vous de ne pas avoir respecter la consigne qui a pris dix boules avec un chiffre diffĂ©rent dans chaque pour n'en retenir qu'une ? ça aurait Ă©tĂ© idiot de faire ça. Autant le faire avec un ordinateur sinon, et on connait dĂ©jĂ  le rĂ©sultat. Le but Ă©tait de montrer que personne ne choisit rĂ©ellement au hasard, et qu'on subit des influences communes. 08/04/2005, 19h20 58 jess n'ohm Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese Je ne sais si c'est idiot mais, je ne suis pas non plus certain qu'utiliser un ordinateur pour ce genre de ''calcul'' soit trĂšs pertinent. Ma solution "manuelle et/ou mĂ©canique" est plus simple Ă  mettre en oeuvre, Ă  mon avis. Et mon but Ă©tait de montrer que la consigne n'avait pas Ă©tĂ© respectĂ©e. En somme, nous avons l'air d'accord. 08/04/2005, 19h40 59 matthias Re Sondage j'aimerais verifier une hypothese EnvoyĂ© par jess n'ohm Je ne sais si c'est idiot mais, je ne suis pas non plus certain qu'utiliser un ordinateur pour ce genre de ''calcul'' soit trĂšs pertinent. Ma solution "manuelle et/ou mĂ©canique" est plus simple Ă  mettre en oeuvre, Ă  mon avis. Non, tu n'as pas compris ce que je voulais dire. Si le but avait Ă©tĂ© d'Ă©tudier le rĂ©sultat d'un grand nombre de tirages rĂ©ellement alĂ©atoires, alors utiliser un ordinateur aurait Ă©tĂ© plus simple que de faire un sondage, et le rĂ©sultat serait connu d'avance une Ă©quirĂ©partition. Je ne parlais Ă©videmment pas d'un sondage oĂč tout le monde aurait rĂ©pondu en faisant un tirage alĂ©atoire sur un ordinateur ou manuellement, ce qui n'aurait servi Ă  rien. EnvoyĂ© par jess n'ohm Et mon but Ă©tait de montrer que la consigne n'avait pas Ă©tĂ© respectĂ©e. C'est juste qu'il Ă©tait Ă©vident pour tout le monde que le but n'Ă©tait pas de faire chacun un tirage rĂ©ellement alĂ©atoire, mais que tout le monde choisisse un nombre indĂ©pendamment les uns des autres. Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 2 Dernier message 02/09/2007, 13h11 RĂ©ponses 4 Dernier message 21/05/2007, 18h51 RĂ©ponses 3 Dernier message 14/10/2005, 14h37 RĂ©ponses 6 Dernier message 16/11/2004, 13h55 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 14h42. 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